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il y a 1 an
Message à l’attention des lecteurs. J’ai l’autorisation de publier cette histoire de vie d’un couple bien réel que j’aurai peut-être le plaisir de recevoir au gîte fétichiste.
Par discrétion, je garderai évidement pour moi leurs coordonnées. Il est donc inutile de me les demander.
Résumé de cette très belle histoire
La vie de couple d’un fétichiste des chaussures et du corset évolue lentement vers la soumission, et la féminisation totale ainsi que la chasteté. Une TRES belles histoire d’Amour et de vie à savourer sans modération.
Chapitre 1 : Période de jeunesse, Cathie
En remontant dans ma mémoire, je pense que j’ai toujours été profondément fétichiste. Mes premiers souvenirs précis sont vers mes 10 ans avec une jeune femme qui venait s’assoir sur un banc en face de chez nous. Je pouvais longuement regarder avec émotion ses longues jambes gainées de collants noir et ses chaussures à talons. A cet âge, ce n’était pas encore de l’excitation mais de l’émotion.
J’ai donc rapidement porté mon attention sur les femmes portant des talons avec de jolies jambes et de jolies fesses.
Mon adolescence a été normale, avec des petites amies, mais sans recherche fétichiste particulière. Je l’avais mis de côté. Une exception toutefois à la lecture d’Histoire d’O que mon père avait oublié de ranger, sur les passages où l’héroïne est étroitement corsetée. Une profonde émotion m’a envahi à cette lecture, avec une envie de me retrouver à sa place pour vivre cette sensation de serrage et de vie en corset. Avec le recul, je me demande si je n’ai pas vécu dans une vie antérieure la vie d’une femme corsetée ?
Ça a été une sorte de déclic sur non seulement l’envie de vivre avec une femme portant ce genre de choses (talons, corset, bas), mais aussi de partager cela avec elle. Mais cette sensation a été oubliée, ou plus exactement « mise de côté ».
Puis arrive l’université, dans la logique de mon adolescence, des relations féminines sans fétichisme particulier, jusqu’à cette soirée étudiante.
En plein milieu de cette soirée, mes yeux ont été attirés par une paire de bottines à talons hauts, et en remontant de jolies jambes et des fesses superbes moulées dans un jean, qui à l’époque se devait être porté le plus serré possible sans la facilité du stretch d’aujourd’hui. Et en plus un superbe visage souriant. Je venais de rencontrer Cathie Rapidement nous avons vécu ensemble.
Dans sa famille, une espèce de tradition pour les filles, le port des talons hauts est de rigueur. Comme pour sa soeur ainée, le jour de ses 16 ans Cathie a reçu comme cadeau 4 paires de chaussures : bottes, bottines, escarpins et sandales à talons de 10 centimètres, et toutes ses chaussures plates ont été jetées. A notre première rencontre, Cathie avait presque 2 années en talons permanents, ce qui expliquait son aisance et sa fluidité dans la vie courante avec de telles chaussures. Le soir de notre rencontre, c’étaient même des talons de 12 centimètres, sa mère souhaitant intensifier cette pratique. Si elle avait trouvé la première année compliquée par cette exigence familiale imposée aux femmes, à 16 ans on a envie de liberté, Cathie avait adopté la vie en talons.
Tout le fétichisme ancré en moi s’est alors mis à jour.
J’ai toujours le souvenir de la première invitation chez ses parents avec sa mère en talons de 15 centimètres, sa soeur en 14 centimètres et son père fétichiste des talons. Inutile de vous dire que la soirée a été consacrée à ce sujet, mon avis sur la chose, etc. J’ai été rapidement adopté, plus facilement que le copain de la soeur de Cathie qui, lui, n’avait aucune attirance de ce type.
Fin des études, la vie active pour nous deux, une vie d’un couple classique avec seulement une petite touche sur le port des talons en permanence par Cathie. Selon les activités (longueur de marche, vie professionnelle ou pour s’amuser) Cathie portait entre 10 et 16 centimètres, avec toutes formes chaussures (des sandales aux cuissardes) et de talons : stilettos, large ou compensés, pour son bonheur et pour le mien. Rajoutez le plaisir de la lingerie et des bas, nous étions parfaitement heureux.
Chapitre 2 : Le premier corset
Avec le temps, la naissance de notre fils, Cathie s’était arrondie. Notre vie de couple, entre des travails très prenants, notre fils, des loisirs, a été mise entre parenthèse et notre sexualité s’est érodée bien que les talons faisaient toujours partie de sa vie. Plus par habitude que par jeu sexy.
Et puis est arrivée cette invitation d’anciens amis d’Université de Cathie.
Cathie est partie la veille pour une soirée seule à seule avec sa meilleure amie, avant le déjeuner et l’après-midi du lendemain avec tous. Je la rejoindrai à ce moment-là. Arrivé à la réception, j’aperçois Cathie au loin et je note qu’elle avait mis ses jolies bottes noires à talons de 14 centimètres et en me rapprochant j’ai le sentiment que sa silhouette est assez différente de d’habitude et surtout qu’elle porte une robe qu’elle n’avait pas pu fermer il y a quelques jours en préparation de cette journée. Proche d’elle je vois que sa taille est très marquée. Comme il y a beaucoup d’amis autour d’elle, impossible d’en savoir plus pour l’instant.
Au cours du déjeuner, alors que Cathie a habituellement bon appétit, je m’inquiète de la voir trier dans son assiette :
« Tu n’as pas faim ? Ça ne va pas ? »
« Non, non rassures toi mon chéri, avec mon corset je dois faire attention » me répond-elle avec un petit sourire.
Mon coeur s’est arrêté, et une énorme émotion m’a envahi, ressemblant à mes premières lectures sur les passages de corsets dans histoire d’O. Après le déjeuner, j’ai pu discuter quelques instants avec Cathie, avant que ses amis ne l’accaparent :
« Oui, je porte un corset, je voulais tellement mettre cette robe et aussi te faire la surprise. Je l’ai reçu avant-hier. Je l’ai essayé hier soir pour la première fois, et selon les conseils du fabricant je me suis levée de bonne heure ce matin pour le serrer très progressivement. C’est un peu compliqué crois moi, je serai bien contente tout à l’heure de l’enlever. Mais je suis très fière de ma silhouette, enfin je retrouve une forme qui me plait. Et toi ? ça te plait ? »
Je ne me souviens plus si j’ai pu prononcer une phrase intelligible, j’ai posé mes mains sur sa taille et j’ai senti un contact ferme, des baleines, les lacets dans le dos : un vrai corset ! J’ai passé l’après-midi à regarder Cathie de loin avec ses amis, cette forme de corps à nouveau tellement sexy malgré son petit surpoids, sa façon de bouger un peu rigide, et aussi un côté très excitant de la voir contrainte et jamais à son aise : Debout l’étreinte de son corset s’adoucit mais ses talons de 5 pouces sont là, et assise ses pieds se reposent mais le corset devient mordant.
De retour à la maison, j’ai enfin pu prendre Cathie dans mes bras, l’embrasser avec force, et la robe enlevée voir enfin mon premier corset en vrai. J’ai pu toucher, caresser, d’autant plus que le corset avait des jarretelles et que Cathie avait des bas. J’ai aussi mesuré son tour de taille : alors qu’il était de 78 centimètres avec son surpoids, il était de 70 centimètres sur le corset. Cathie m’a expliqué que sa taille était proche de 68 centimètres dans le corset soit 10 centimètres de réduction. Cela expliquait pour elle la difficulté de cette journée, une certaine douleur à supporter le corset et le souhait de l’enlever. Elle a tout de même été d’accord pour que nous fassions l’amour en gardant son corset et ses bottes. Inutile de vous dire mon excitation.
Alors que notre vie sexuelle s’était arrêtée depuis un bon moment, l’arrivée de ce corset l’a relancée.
Après cette journée, le corset a rejoint un tiroir, Cathie ne le ressortant que quelques fois à ma demande pour pimenter notre vie sexuelle et alimenter ma libido.
Chapitre 3 : L’entrée du corset dans la vie de tous les jours
Une petite année après l’arrivée de ce corset, Cathie m’a confié l’envie de commencer un régime pour perdre un peu de poids. Elle pensait de plus que le port du corset, particulièrement en moment des repas, pouvait lui être utile. En plus, la vue de son corps corseté lui plaisait énormément : « je recommence à m’aimer » disait-elle, mais encore faillait-il qu’elle endure la restriction du corset dans la vie courante personnelle et surtout professionnelle. Elle ne savait pas si elle y arriverait.
Le premier essai a été fait le week-end suivant. Pour combiner avec son souhait de voir le corset comme une aide pendant les repas, je l’ai lacée juste avant le petit déjeuner, de son tour de taille de 78 à 73 centimètres, puis à 70 centimètres en milieu de matinée (mesure sur le corset, donc 68 centimètres pour elle). Cathie est allée à son rythme pendant cette journée, j’ai pris en charge tout le fonctionnement de la maison pour la soulager. En fin d’après-midi, comme la journée avec ses amis, et son premier laçage, nous avons fait l’amour, et juste après Cathie m’a demandé de la délacer. Je lui ai rappelé que son objectif premier était de porter le corset pendant les repas, mais que si elle le souhaitait, je la délacerais.
« Oh c’est vrai chéri, excuse-moi ! »
« Pas de soucis, c’est ton choix de porter le corset, j’aime beaucoup tu le sais, mais fait attention à toi »
Et Cathie est restée lacée pour la fin de soirée. J’ai vu que c’était dur pour elle, elle a même été s’allonger pendant je préparais le dîner. Je l’ai délacée vers 22 :00. Le lendemain dimanche, j’ai demandé si elle souhaitait continuer l’expérience. J’ai bien vu dans son regard que cela était difficile, mais elle a dit oui. Laçage avant le petit déjeuner, puis ajustée plus étroitement en milieu de matinée. Un petit plus, Cathie m’a demandé de lui mettre des bottines talons de 12,5 centimètres et non des 10 centimètres comme la veille. Dans le milieu de l’après-midi, je l’ai vu plus détendue, plus souriante et nous sommes allé faire une petite promenade.
« Ça a l’air d’aller mieux ? »
« Oh oui, j’ai l’impression que mon corps se détend, d’arrêter de lutter. J’ai un petit mal aux cotes en bas, mais pour le reste ça va bien. Merci chéri ! »
La fin de journée a été très bonne, délacée avant de dormir.
La semaine de travail s’est passée avec le corset dans le tiroir, avec un petit éclat de rire le lundi matin ou Cathie m’a dit au petit déjeuner :
« Tient ! il me manque quelque chose ce matin ! »
Dans le courant de la semaine, elle m’a dit : « Chéri nous sommes en vacances la semaine prochaine, ne prévois rien de spécial, je voudrais essayer de porter le corset tous les jours pour voir comment cela se passe dans la vie courante. Tu es d’accord ? »
Vous imaginez mon bonheur d’avoir une épouse lacée et en talons toute la semaine ! Une perspective de vacances extraordinaires.
Dès le samedi nous avons pris le rythme du laçage matinal, ajustement de serrage en cours de matinée, délacée avant de dormir. Au fur et à mesure des jours Cathie s’est sentie de plus en plus à l’aise dans la vie courante et a voulu participer aux tâches ménagères à nouveau. Des promenades, un peu de shopping avec la joie pour elle de pouvoir choisir des vêtements plus petits et plus sexy en accord avec sa taille réduite de 10 centimètres
Et le dimanche soir elle m’a dit : « Chéri, demain tu me relaceras, je vais essayer de travailler avec mon corset » J’étais le plus heureux des hommes
Chapitre 4 : le corset au quotidien
Le lundi matin nous nous sommes donc réveillé une demi-heure plus tôt, Cathie a pris sa douche et j’ai donc fait son premier laçage. Petit déjeuner, un peu de temps où elle a fini de se préparer et le deuxième laçage pour ajuster aux 10 centimètres de réduction. Elle avait choisi des vêtements assez amples pour cacher le corset.
J’ai attendu impatiemment son retour le soir pour savoir comment cela s’était passé. Avec un grand sourire Cathie m’a confirmé que cela avait plutôt bien été, que c’était pour elle parfaitement gérable, même si effectivement cela demandait des efforts et une attention soutenue sur la posture. Mais pas de douleurs. Et à la fin de semaine sa décision était prise : pour l’aider à maigrir, elle portera le corset quotidiennement du matin au soir.
Nous avons alors commencé à nous documenter sur les corsets, la vie en corset. Internet à été d’un grand secours, en particulier le site Staylace. Cathie a rapidement commandé 2 autres corsets pour assurer la rotation nécessaire.
Au bout d’un mois, les premiers effets du régime et du corset se sont fait sentir, Cathie avait perdu du poids et donc m’a demandé de serrer un peu plus ses corsets pour avoir la même sensation. Je l’ai donc lacée à 68 centimètres (mesure sur le corset) au début d’un week-end. Si elle a trouvé cela un peu compliqué la première matinée, dès l’après-midi, tout était rentré dans l’ordre, ce qui fait son laçage serait désormais de 68 centimètres. En revanche ce nouveau laçage a fait apparaître un souci. Comme le corset était plus étroit, son corps le matin devait endurer cette réduction plus importante. Le week-end cela ne posait pas de problème car nous avions le temps de le faire en 3 étapes, peu importe si le corset était lacé à 68 centimètres en milieu de matinée, mais les jours de travail Cathie était donc plus brusquée avec un inconfort les 2 premières heures le temps que son corps se réhabitue au corset après le repos de la nuit. Elle a échangé avec des femmes lacées sur des forums, et la seule solution semblait le port du corset jour et nuit pour que le travail de la journée ne soit pas perdu la nuit.
En plus, si un jour Cathie voulait réduire de façon plus importante sa taille, c’était indispensable. Comme le corset était entré dans notre vie, que cela avait relancé notre couple sexuellement, j’étais devenu un grand supporter et encourageait Cathie quand le port corset était un peu compliqué pour elle quelque fois. La vie active en corset n’est pas facile tous les jours. Nous avions échangé sur les réductions, vu sur internet les stars du tight-lacing, et je la poussais à réduire. Des vacances arrivaient, elle était d’accord pour essayer le corset jour et nuit à cette occasion.
Le premier jour des vacances Cathie a été lacée le matin à 68 centimètres, comme d’habitude, et après sa douche du soir, avant d’aller se coucher relacée à 70 cm. Un conseil d’une dame rencontrée sur le chat : relâcher un peu pour la nuit. Inutile de vous dire que les 3 premières nuits Cathie n’a pas bien dormi ! Et par l’habitude et la fatigue aussi, la quatrième nuit fut bonne.
Cathie a vu tout de suite le confort et la facilité du laçage du matin, et aussi la répercussion sur la journée. A la fin de cette semaine de vacances sa décision était prise : le corset sera porté jour et nuit, le rythme étant délacée après la nuit, douche et entretien de la peau, relacée de suite, petit déjeuner et ajustement du serrage (de 70 centimètres à 68 centimètres) juste avant le début de la journée active, délacée le soir pour douche et entretien et relacée pour la nuit à 70 centimètres. Le « 23/7 » venait de rentrer dans notre vie.
Chapitre 5 : le corset, la famille et les amis
Avec cette étape et mon souhait de voir Cathie réduire sa taille et modeler sa silhouette, elle, de perdre encore un peu de poids, nous avons convenu d’un objectif : retrouver son tour de taille naturel de ses 18 ans et de notre rencontre : 62 centimètres.
Nous avons alors racheté des corsets pour pouvoir réaliser progressivement cette réduction. Mais si le corset était entré dans notre maison, ce n’était pas encore le cas dans la famille, et cacher cela ne serait pas facile dans ce contexte.
Cathie a donc décidé de commencer par ce qui lui semblait à la fois le moins difficile pour elle et où nous pensions avoir le moins de réticence ou de critique : ses parents. En effet comme ils avaient initié leurs 2 filles aux talons assez jeunes, que les bas faisaient partie de la vie courante, il y avait sûrement un esprit ouvert pour quelque chose d’assez fétichiste comme le corset.
Elle a donc profité d’un déplacement professionnel pour passer un week-end chez eux et donc leur avouer sa nouvelle vie. En fin de soirée, le vendredi soir, le téléphone a sonné et Cathie m’a raconté son début de week-end. Tout de suite en arrivant, en ouvrant la porte, son papa l’a félicité sur sa silhouette, puis sa maman.
« Tu as fait un régime ? »
« Oui, en quelque sorte, je vais vous raconter »
Et donc Cathie leur a expliqué, comment le corset est entré dans sa vie, les étapes, mon soutien. Elle a bien expliqué que c’était son choix et non une obligation que j’aurai imposé. Ensuite elle leur a montré ce qu’elle portait, avec toutes les questions classiques sur la santé, la vie en corset, la douleur, etc. Rassurés ils ont adopté l’idée d’avoir une fille en corset. De retour le dimanche soir, Cathie m’a raconté en détail son week-end, tous leurs échanges sur cette nouvelle vie, les quelques essais de corset de sa maman pendant la mode du « New-Look », le laçage fait par elle, et pour finir elle m’a transmis les félicitations de son papa très heureux d’avoir un gendre faisant porter le corset à sa fille. Je m’étais toujours douté que mon beau-père était fétichiste.
Cathie avait le soutien de ses parents.
Pour sa soeur ça a été plus compliqué. Si Nathalie avait bien adopté les talons, et menait une vie « haut perchée » elle était beaucoup plus blue-jean que jupe et des tenues pratiques. Elle a donc traité Cathie de folle, que c’était dangereux pour elle, rétrograde sur la condition féminine. Elle pensait que tout était de ma faute, que pour des jeux sexuels pervers je lui imposais le corset et donc une vie de soumission. Il y a eu une période de froid avec elle et son mari.
Pour les amis, nous avions 2 couples d’amis très intimes qui ont rapidement compris et accepté la nouvelle vie de Cathie sans modifier notre amitié. Pour les autres, un peu moins proches, nous avons fait le choix de cacher la taille corsetée de Cathie.
Le travail de Cathie (management d’équipes techniques) permettait le port du corset, c’est aussi pour cela qu’elle a tenté le 23/7, même si s’était un peu compliqué au début le temps d’apprendre cette nouvelle vie. Là, par contre, elle a choisi de cacher sa taille et est restée discrète. Il était difficile de savoir la réaction de ses collègues, de son PDG, donc pas de risque.
Chapitre 6 : Ahn
Avec du temps, de la patience, du courage et mon soutien Cathie réduisait sa taille et perdait son surpoids. Désormais je la laçais à 64 cm (mesure sur le corset) soit 62 cm pour elle à l’intérieur du corset. Mais ce n’était pas encore son objectif, elle voulait un tour de taille de 62 cm visible.
Cette année-là, nous avions décidé de prendre nos congés dans un club de vacances. Cela me permettrait de faire du sport, bien entendu Cathie avait arrêté le sport depuis son laçage 23/7, mais elle pourrait avoir des activités soft dans ce club.
La première épreuve pour elle a été de prendre l’avion. Dans un premier temps elle avait pensé voyager sans corset pour ne pas perturber les contrôles de sécurité et rester discrète, mais cela l’embêtait aussi de perdre le bénéfice de son laçage en quelques heures. J’ai appelé la compagnie aérienne pour savoir comment cela pourrait se passer, j’ai eu les renseignements et donc Cathie a décidé d’essayer. Le vol étant assez court (2 heures) c’était plus un problème de contrôle. Conformément aux conseils de la compagnie, Cathie s’est présentée à la sécurité pour les informer qu’elle portait un corset. Elle a été prise en charge par 2 charmantes femmes pour un contrôle discret à part. Tout s’est bien passé, avec pour elle la fierté d’avoir osé assumer en public le port du corset.
Après quelques jours dans le club, j’ai remarqué une femme avec une silhouette et une façon de bouger qui a éveillé ma curiosité : j’ai eu tout de suite l’impression qu’elle aussi portait un corset. Elle ne faisait rien pour mettre en valeur sa silhouette, mais non plus rien pour la cacher. J’en ai parlé à Cathie et effectivement elle a eu la même impression que moi. A l’apéritif du soir, remarquant qu’elle était seule, nous avons engagé la conversation et après les banalités d’usage je lui ai demandé :
« Je vous ai remarqué, car il me semble que vous portez un corset ? »
« Vous avez effectivement bien vu, et pour tout vous dire je pense aussi que Cathie en porte un »
Nous venions de rencontrer Ahn.
Pour résumer Ahn, suite à nos longues discussions pendant ses vacances et après notre retour où nous sommes devenus amis :
D’origine asiatique, Ahn est un petit bout de femme avec peu de poitrine, mais une taille naturellement très fine qui fait contraste avec des hanches assez larges. A 18 ans elle faisait 57 cm de tour de taille pour 92 cm de hanches. Au cours de sa première année de faculté en médecine, son petit copain l’a initiée et poussée à porter un corset accroitre ce look, et Ahn est passée rapidement au 23/7. A 20 ans ils ont rompu, Ahn ayant découvert et accepté le fait qu’elle était attirée par les femmes et non les hommes, en revanche elle a gardé le corset, même si cela a été très compliqué dans l’univers et la formation médicale. Son laçage dans la vie active de tous les jours est de 45 cm, hourglass underbust. Pendant des vacances, lorsqu’elle a envie de « jouer » avec son corps (pour reprendre ses expressions) et qu’elle être plus contrainte en s’adaptant à une vie plus lente, elle peut progressivement réduire à 40 cm. Dans ces moments-là, ses corsets sont plus extrêmes par un double baleinage un busc plus rigide légèrement courbé pour renforcer sa cambrure. La nuit, les corsets gardent le double baleinage mais avec un busc droit.
Revenons à nos vacances et notre première rencontre.
Le lendemain, Ahn avait une excursion, et nous a donné rendez-vous le soir pour dîner ensemble. Quand je l’ai vu, mon coeur s’est arrêté : elle avait mis en valeur sa silhouette en portant une robe assez courte stretch ceinturée à la taille et des sandales à très hauts talons. Inutile de vous dire que beaucoup de regards étaient sur elle. Elle nous a avoué le faire parce que nous étions là, en toute sécurité, sans se faire embêter par des hommes. Je venais de voir en réel ce qui pour moi était un fantasme. Nous sommes devenus amis, et avec son expérience du corset plus son métier de médecin Ahn a pris en charge Cathie pour l’aider dans sa vie corsetée.
Chapitre 7 : Cathie obtient son premier objectif et mes débuts Bien nous n’habitons pas proche d’Ahn (elle est en région parisienne et nous près de Nantes) nous avons pris l’habitude de nous voir assez souvent et bien sûr d’échanger par téléphone et internet.
De retour de vacances, Cathie a eu un rendez-vous assez long avec elle pour faire un point sur sa pratique du corset. Il en ressortit que son objectif de 62 cm (mesure sur le corset) serait facilement atteint, et que si Cathie le souhaitait elle pourrait même aller plus loin dans sa réduction. En revanche, il faudrait à ce moment-là changer de corsets, passer au sur mesure, et voir vis-à-vis de son travail si c’était réalisable, un serrage plus étroit donnant bien entendu une vie plus réduite.
Pour les 2 derniers centimètres, Ahn a demandé à Cathie de prendre sa méthode de réduction de taille : Quand une taille est acquise, sans douleur, et que le porteur est relativement à l’aise, son corset est lacé 1 cm plus étroitement le matin. Le soir, le corset de nuit est relacé à la taille précédente. Par exemple Cathie a été lacée à 63 cm au retour de vacances après son rendez-vous avec Ahn pour la journée, et le soir son corset de nuit était à 64 cm. Lorsque le porteur est à l’aise dans la journée, sans douleurs, la réduction s’applique aussi la nuit. Les 10 premiers jours à 63 cm ont été un peu difficile pour Cathie, mais au bout de 2 semaines cela allait bien. Elle a continué une semaine de plus pour vérifier, et au bout de 3 semaines Cathie a été lacée à 63 cm jour et nuit. Il lui a fallu à nouveau une vingtaine de jours pour être bien à 63 cm jour et nuit, et une semaine après elle a été lacée à 62 cm pour la journée. 2 mois après Cathie portait le corset jour et nuit sans douleur à 62 cm, mesure sur le corset, son objectif initial. Une grande fierté pour elle, et le plaisir de retrouver un corps très sexy, son surpoids abandonné. J’avais avec moi une épouse très désirable, notre couple avait trouvé un second souffle.
Peu de temps après que Cathie soit à ses 62 cm, un week-end, en rentrant de shopping, nous avons fait l’amour en rentrant. Il faut noter qu’elle restait corsetée pour mon plaisir, et avec le temps elle y a trouvé aussi un grand plaisir. Juste après, alors que nous parlions de nos sensations, elle est allée dans sa commode, et a ressorti un de ses premiers corsets et m’a dit :
« Essaye pour voir »
« Tu es sure ? »
« Oui, oui, tu vas voir ce que je ressens »
Bien que mon tour de taille soit de 90 centimètres, Cathie a pu m’ajuster ce corset. Il faut noter que nous avons une taille assez proche avec mes 170 cm et 168 cm pour elle. Le corset allait pour la hauteur. Elle a accroché le busk, tiré les lacets et ajusté le serrage à son goût. J’étais à la fois gêné de porter un sous vêtement féminin, mais aussi excité d’être dans ce qui alimentait mes fantasmes depuis très longtemps. M’est revenu en mémoire à ce moment le passage du livre « histoire d’O » où l’héroïne décrit ses sensations pendant le serrage de son premier corset. Un plaisir important m’a envahi, plaisir que je n’ai pu cacher à Cathie qui m’a dit : « Je vois que cela te fait de l’effet » et nous avons refait l’amour tous les 2 corsetés. En me levant j’ai vu ma silhouette lacée, avec un sentiment partagé entre ridicule pour homme et sexy d’avoir une taille marquée. Et j’ai entendu Cathie dans mon dos dire : « Ça te va bien tu sais »
A partir de ce moment, par jeu sexy, de temps en temps Cathie me laçait pour entretenir notre désir et faire l’amour.
Chapitre 8 : les nouveaux challenges
La routine de la vie a quelque temps repris son cours : Cathie avait bien intégré son laçage à 62 cm dans la vie courante, et j’en portais quelques fois un pour des jeux sexy. Cathie m’en avait acheté 2 plus à mes mesures.
Il faut toutefois noter qu’elle avait décidé d’assumer son nouveau look. Un vendredi après-midi au cours d’une discussion amicale au travail avec son PDG, elle lui avait confié qu’elle portait le corset depuis quelques années désormais, que cela avait transformé sa silhouette et lui avait demandé si cela posait problème professionnellement de montrer son tour de taille. Elle avait alors pris sa taille entre ses mains et pincé ses vêtements amples pour montrer. Son patron lui a dit qu’il n’y avait aucun souci et lui confié qu’il avait remarqué sa perte de poids spectaculaire. Le lundi suivant elle est donc venu en tenue professionnelle et sobre mais avec sa taille de 62 cm marquée par une ceinture. Inutile de vous dire que pendant quelques jours elle a eu de nombreuses discussions sur le sujet, mais tout le monde l’a acceptée ainsi.
Familialement tout allait bien aussi, ses parents adoraient, et la paix est revenu avec sa soeur et son mari qui ont accepté aussi son style de vie. Personnellement j’étais seul depuis déjà quelques temps. Notre fils avait déjà quitté la maison pour ses études.
Nous avons pris 3 semaines de vacances en louant une maison au bord de mer. Bien entendu Cathie avait pris ses corsets et pris les 2 miens. Les vacances sont propices à l’amour.
Le deuxième jour, sur le chemin du retour où il y avait une petite côte pour rejoindre la maison, j’ai un peu brusqué maladroitement Cathie, trouvant qu’elle était lente. Elle m’a fait remarquer que j’étais en tenue de sport alors qu’elle portait un corset et des talons hauts, et que j’adorais cela. Je me suis excusé.
Le lendemain au réveil elle m’a dit :
« Mon chéri, je te propose un jeu qui me ferait très plaisir. Utilisons ces vacances où nous sommes tranquilles tous les 2 pour que tu comprennes ma vie désormais. J’aimerai que tu portes le corset comme moi. Es-tu d’accord pour essayer ? »
Un peu pris en faute la veille, je n’ai eu d’autres choix que de dire oui, d’autant plus que j’aime profondément Cathie et que je veux lui faire plaisir. Moi qui adore le sport, j’ai aussi pris cela comme une forme de challenge sportif : pourquoi pas !
Levés, douche et laçage pour elle, puis douche et laçage pour moi. Mon premier laçage avec la perspective d’une journée en corset et non et jeu de sexe. J’ai ressenti un mix entre une petite peur de le faire (peur d’être découvert avec un corset féminin, d’être ridicule) et un plaisir trouble de porter cette pièce de vêtement si sexy.
Cathie m’a lacé à 84 centimètres (82 dans le corset, soit une réduction ressentie de 8 cm) Pendant nos jeux, j’étais souvent lacé à 10 centimètres de réduction. Qu’elle fût difficile cette première journée où à chaque geste de la vie courante le corset se rappelle à vous ! Apprendre à se tenir droit, assis ou debout, adieu le canapé profond et moelleux, et la petite côte du retour à la maison ne s’est pas prise à grande vitesse. Cathie à la fois me guidait, m’encourageait mais aussi riait de moi.
Le soir, douche, j’ai aussi découvert l’entretien de la peau, et au moment de me mettre au lit, elle m’a dit : « Non, non, comme moi tu dors lacé ! On ne va pas perdre les bénéfices de la journée ». J’avais totalement oublié. Cathie m’a donc relacé mais à 85 centimètres : un petit cadeau pour la nuit. J’ai très mal dormi ! Quand je m’assoupissais, le fait de bouger après me réveillait. J’ai failli plusieurs fois me lever pour enlever ce corset, mais j’avais fait une promesse à Cathie. J’ai tenu le coup, et comme nous étions en vacances je pourrai me reposer le lendemain.
Petit à petit j’ai amélioré ma gestuelle en corset, mon corps c’est habitué et avec le manque de sommeil j’ai passé une nuit complète le quatrième jour.
Au début de la dernière semaine Cathie a modifié mon serrage, j’ai pu sans soucis être lacé à 82 centimètres (80 dans le corset) et 84 la nuit. Les petites douleurs sur les côtes du bas étaient tout à fait supportables. Je suis même rentré en corset à la fin des vacances en constatant que conduire n’était pas la partie la plus agréable de cette vie ! Le dimanche soir, après dîner, Cathie m’a dit :
« J’ai une proposition à te faire, j’en ai aussi discuté avec Ahn. Au fait je lui ai dit pour des vacances en corset, elle te félicite ! »
« Tu l’as dit à Ahn ? Ça devait rester secret entre nous. Tu imagines si cela se sait ! »
« Rassure-toi chéri, tu connais Ahn, elle est très discrète et aussi tenu au secret par son métier.
C’est entre nous 3. Revenons à ma proposition : je suis d’accord pour reprendre ma réduction de taille, Ahn pense que je peux encore réduire, à mon travail c’est possible physiquement. Je ne sais pas de combien, mon corps le dira. Est-ce cela te fait plaisir aussi ? »
« Bien sûr ! Mais fait attention à ta santé »
« Oui rassures toi, je vais m’écouter et Ahn me suit. Maintenant je le fais si tu continues te ton côté ton laçage, j’ai vraiment envie de partager ce style de vie avec toi »
Tout s’est bousculé dans ma tête. A la fois attiré par ce côté excitant de porter un corset, cette sensation de restriction qui commençait à me plaire, de voir Cathie réduire un peu plus sa taille avec une forme de corps extrêmement attirante amis aussi la peur d’être découvert avec un corset dans la vie active. Mon travail dans la banque n’était pas un métier de force où le corset aurait été impossible, il fallait cacher le corset et apprendre une vie un peu plus lente et gérer le risque d’être découvert un jour. Emotionnellement c’était trop fort pour pouvoir prendre une décision ce soir-là. La nuit portant conseil, je me suis couché après avoir été lacé dans mon corset de nuit et nous avons fait l’amour avant d’éteindre la lumière. Le lendemain matin, ma décision était prise. Cathie m’a lacé après la douche avant que je choisisse mes vêtements pour aller travailler.
Chapitre 9 : Nos challenges dans la vie quotidienne
J’ai donc commencé ma vie d’homme lacé au quotidien ce lundi de retour de vacances. Grace à mes 20 jours de pratique avant, j’étais à peu près à l’aise dans mes mouvements, mais j’avais une peur permanente d’être découvert. Je vérifiais sans cesse mes vêtements pour être sûr que rien de se voyait, mais peut-être je donnais d’autres signes inconscients. D’ailleurs en milieu d’après-midi, une de mes collègues m’a fait remarquer que j’avais l’air tendu, me demandant si tout allait bien. J’ai dû rougir un peu, et lui disant que c’était sûrement du au retour de vacances. Petit à petit avec le temps, j’ai retrouvé un certain naturel, le corset faisait partie de ma vie. Même si je gardais une petite pointe de peur (ce qui me permettait aussi d’être vigilant pour garder secret mon laçage) je ressentais aussi une fierté d’oser le faire. Je bénéficiais du soutien et de l’amour de Cathie.
Cathie pilotait mon corsetage, c’était elle l’experte à la maison. Les 2 premières semaines elle m’a lacé à 84 centimètres pour le travail, 85 la nuit, et 82 le week-end, 84 la nuit. Et comme tout allait bien j’ai pris un rythme quotidien 82 centimètres le jour et 84 la nuit travail et week-end.
Cathie a commencé sa réduction le premier week-end après notre retour de vacances. Avec les conseils d’Ahn il fallait mieux avoir les 2 jours du week-end pour s’adapter au nouveau serrage avant de reprendre le travail. Je l’ai donc lacée à 61 cm le samedi matin. Était-ce psychologique ou physique ou les 2, mais elle m’a tout de suite dit : « Chéri, c’est vraiment étroit ! ». Pour un petit centimètre. Aujourd’hui avec le recul, nous pensons que c’était le fait d’aller en dessous de son objectif premier et de se dire qu’elle se laçait en dessous de sa taille de jeune fille, même si effectivement il y avait bien ce centimètre de moins. Elle a vraiment apprécié le soir pour dormir le retour à 62.
A la fin du dimanche, les petites douleurs s’étaient transformées en sensation d’étroitesse, c’était donc bon pour continuer au travail le lendemain. Après 2 semaines, Cathie s’est sentie à l’aise dans la vie de tous les jours à 61 cm, son corps avait accepté. Ahn lui a conseillé tout de même d’attendre encore une semaine pour vraiment bien s’adapter. Le vendredi soir suivant a été lacée à 61 cm pour la nuit. C’était donc parti pour une taille de 61 centimètres en 23/7. Cette partie-là est plus facile, même si les 2 ou 3 premières nuits demandent un peu d’adaptation.
Dans l’entraînement de taille conseillé par Ahn, la deuxième phase (conserver la réduction de taille la nuit) est plus simple. Cathie a été à l’aise au bout de 15 jours et donc je l’ai lacée à 60 cm.
Au bout de trois mois, j’ai été d’accord pour réduire ma taille. Je me sentais très bien, même si ma vie s’était ralentie pour s’adapter au corset. J’avais arrêté le sport, de courir pour attraper un bus et je préférais les ascenseurs aux escaliers. Les quelques oublis avaient provoqué un rappel à l’ordre de mon corset. Alors pourquoi pas essayer d’affiner ma silhouette ? Cathie me voulait avec une taille plus fine, qui selon elle, serait encore plus sexy. Ahn poussait en ce sens aussi.
J’ai donc été lacé un vendredi à 81 cm, puis suivi la méthode. Moins habitué au port du corset que Cathie les délais étaient donc plus longs. Je cachais par contre mon port du corset à tout le monde, famille et amis compris, seule Cathie et Ahn étaient dans la confidence.
Chapitre 10 : un peu plus loin dans le « partage »
Quelque temps plus tard, en discutant tous les deux, je me suis excusé auprès de Cathie. En effet pendant ses premiers pas en corset 23/7 et avant que j’essaie, je n’avais pas été très attentif à elle, en gardant un rythme de vie trop dur à suivre pour une personne lacée. Elle m’a regardé d’un air amusé :
« Chéri, merci, mais tu sais que s’était un peu pareil avant le corset »
« Comment ça ? »
« Les talons hauts sont aussi quelques peu restrictifs, je n’ai jamais dit grand-chose, mais ce n’était pas forcément facile de trotter haut perchée derrière toi » Je me suis à nouveau excusé. Elle s’est levée et est revenu un instant d’après avec une paire de bottines à talons large.
« Elles sont un petit peu grandes pour moi, cela devrait t’aller »
Comme je vous l’avais dit, nous n’avons pas une grande différence de taille avec Cathie (170 centimètres pour moi, 168 pour elle) et matière de chaussure nous n’avons qu’une demi-pointure d’écart : 40 pour moi et 39,5 pour elle.
Elle m’a donné des demi-bas et j’ai mis les bottines. Elles étaient noires, talon large de 10 centimètres, assez sobres, et bien que ce soient des chaussures de femme sous un jean cela était assez discret. J’ai fait quelques pas, cela ne pas sembler hyper compliqué. Cathie m’a fait marcher, donné quelques conseils. Je voyais son visage troublé.
« Chéri, peux-tu changer de ceinture de jean pour une plus étroite afin de mettre en valeur ta taille ? »
Je suis monté dans notre chambre, mis une ceinture que j’ai ajusté à ma taille corsetée, et là j’ai vu dans la glace une silhouette que je ne connaissais pas : mon visage sur un corps androgyne : une taille un peu étranglée qui faisait ressortir des hanches rondes, une cambrure, des talons hauts. Comme en plus j’ai un visage assez fin sans barbe. C’était troublant. Je suis descendu, mais là avec grandes précautions : 10 centimètres de talons ce n’est pas si facile ! Arrivé devant Cathie, j’ai vu ses yeux grands ouverts, un énorme étonnement avec une grande émotion et elle a balbutié : « Que tu es beau comme cela »
Elle m’a regardé sous toutes les faces, fait marcher devant elle, s’est levée pour caresser ma taille, mes fesses et m’embrasser profondément. Cela a renforcé mon trouble. Elle m’a demandé de finir la journée ainsi.
Le lendemain, un dimanche, nous avons repris notre vie « normale » Le samedi suivant, le matin, après avoir lacée Cathie et l’aider à s’habiller, elle m’a demandé de lui mettre ses bottes noires à talons de 14 centimètres. Je lui ai dit que j’aimais beaucoup la voir bien cambrée ainsi, merci ! Je venais de finir ma douche, j’étais dans la salle de bain, et j’ai entendu Cathie me dire :
« Tu veux me faire plaisir aussi chéri ? »
« Oui bien sur »
« Ok »
En arrivant dans la chambre, elle avait préparé mes vêtements. J’ai vu sur le lit mon corset liner, mon corset, slip, jean et un pull fin et stretch que je n’avais pas mis depuis très longtemps. Et au pied du lit les fameuses bottines.
« J’aimerai partager avec toi une journée en talons, toi qui aimes tant nous voir les femmes haut perchées, bienvenue dans notre monde. Rappelle-toi chéri, c’est pour cela que tu m’as choisi au début. Tu veux bien me faire plaisir aujourd’hui ? »
« Bien sûr, mais tu ne me trouves pas ridicule ainsi ? » « Non, au contraire, c’est si sexy, je ne pouvais pas m’imaginer »
J’ai donc enfilé les mi-bas, mon corset liner, mis le jean, les bottines, Cathie a lacé mon corset, j’ai enfilé le pull et Cathie a elle-même serré au maximum la ceinture. Ses mains se sont promenées sur tout mon corps, j’ai eu un profond baisé J’ai alors redécouvert ce corps troublant dans la glace, encore plus marqué par le pull stretch montrant totalement mon buste corseté.
La journée s’est passée tranquillement, à la maison, vous pensez bien qu’il m’était impossible de sortir ainsi, sous les yeux admiratifs de mon épouse, et ponctués de ses conseils pour une démarche plus souple, plus harmonieuse, une gestuelle plus adaptée au port de talons et d’un corset.
En fin de soirée nous avons longuement fait l’amour : une belle récompense !
Les talons sont donc rentrés dans ma vie, à la demande de Cathie certains week-end pour son plaisir, et j’avoue, rapidement pour le mien. J’ai vite aimé cette cambrure apportée par les talons, cette sensation à la fois de restriction et de puissance en marchant et ce look qui allonge les jambes et affine la silhouette.
J’ai osé les mettre un jour où Ahn est venu à la maison, elle a adoré aussi.
Chapitre 11 : Il faut souffrir pour être belle
Nous avions pris notre rythme tranquillement entre la vie active, la vie privée, et le corset. Ahn venait fréquemment passer des week-ends chez nous, voire quelques vacances ce qui était facile et agréable pour elle étant célibataire et très prise par son travail de médecin. Nous continuions à notre rythme la réduction de taille, sans objectif précis, Ahn avait insisté : « en écoutant notre corps, sans brusquer les choses »
Cathie avait perdu tout son surpoids, et avait même profondément changé de forme de corps, pas simplement sur sa finesse de taille due au laçage, mais sur tout le reste. Elle avait un peu plus maigri (le corset qui limitait les quantités de nourriture, mais aussi la diététique) avec un corps plus ferme et des muscles plus visibles. Elle était superbe. Personnellement je n’avais pas perdu grand-chose personnellement n’ayant pas de surpoids avant de commencer le corset grâce à une pratique importante du sport, le corset avait pris le relais. Bien qu’ayant arrêté le sport, avec mon laçage 23/7 (j’avais gardé de longues marches toutefois) je n’avais pas grossi.
Cathie était arrivée à 55 centimètres, sans trop de soucis, même si les délais étaient plus importants entre 2 réductions, ce qui était logique. Il fallait plus de temps pour que sa cage thoracique prenne la forme du corset et que des organes trouvent leur place. Tout cela était bien entendu accompagné par de nouveaux corsets, faits sur mesure. Je l’ai lacée un samedi matin à 54 cm, selon le rituel établi par Ahn pour continuer sa réduction. J’ai vu tout de suite que c’était compliqué pour elle.
« Ça va ? »
« Oui chéri, tu sais c’est normal. Tu comprends aussi. Il faut un peu de temps pour s’habituer. Mais là je sens que c’est une étape »
J’ai fait le noeud et je l’ai aidée à finir de s’habiller. Les 2 heures qui ont suivi, je voyais tourner un peu en rond, les mains sur sa taille, et elle est allé s’allonger avant le déjeuner. Cela lui a fait du bien. L’après-midi a été difficile avec une douleur en bas de sa cage thoracique qui persistait. En rentrant d’une petite promenade, elle a appelé Ahn. Après une consultation à distance, pour Ahn il n’y avait rien de grave, que plus on se rapprochait de ses limites physiques, plus il y avait des désagréments car le corps luttait. Elle lui a conseillé de prendre des anti-douleurs et surtout de se détendre. Le retour pour la nuit 55 centimètres était proche. Et effectivement tout est rentré dans l’ordre avec le laçage pour la nuit à 55 centimètres. Le lendemain matin, je lui ai demandé si je devais la relacer à 54 centimètres, elle m’a dit oui car c’était un dimanche, qu’elle pourrait gérer. On verrait cependant lundi matin pour le travail.
En cherchant effectivement de ne pas lutter contre le corset, de se détendre, c’était moins pénible. La douleur n’est apparue qu’en début d’après-midi. En s’allongeant de temps en temps c’était gérable. Le retour à 55 a été bien venu.
Courageusement Cathie a été relacée à 54 pour sa journée de travail, se disant que si besoin elle pourrait relâcher ce petit centimètre si c’était trop douloureux. Ahn était d’accord. Entre pauses, petites marches pour se détendre et anti-douleur, la journée s’est passée quand même et Cathie est restée à 54 centimètres.
Le lendemain, son patron a voulu la voir. Il avait remarqué qu’elle n’était pas bien. Avec toute franchise, il y a une grande relation de confiance entre eux, Cathie lui a expliqué qu’elle était en train de réduire sa taille, et que cette étape était difficile. Si elle avait montré sa taille au travail quand elle avait atteint son objectif de 62 centimètres et donc assumé le port d’un corset, la réduction progressive n’était pas perceptible pour son patron et ses collègues. Il lui a proposé de réduire son temps de travail quotidien si besoin le temps de franchir cette étape, et en plus ils ont choisi ensemble un siège plus ergonomique pour elle. Il était trop content d’avoir à ses côtés une femme lacée et en talons hauts. Beaucoup d’hommes sont très fétichistes ! Toutefois il est toujours resté courtois sans faire la cour à Cathie. Un homme vraiment bien.
Difficilement, par la douleur qui venait quelquefois et aussi plus de réduction du souffle et des mouvements Cathie a fait sa semaine. Toutefois nous avons décelé une rougeur sur sa peau à l’endroit de la douleur. Heureusement Ahn venait le week-end.
Elle l’a auscultée, et a conclu que c’était une côte qui avait un peu plus de mal à se cintrer, et donc aussi un pincement de la peau à cet endroit entre la cote et une baleine du corset. Heureusement c’était pris à temps, Cathie n’aurait pas besoin de se délacer le temps de guérison de la rougeur.
Nous avons donc découvert à ce moment l’importance de l’entretien de la peau sous le corset, comment faire en cas de rougeurs, et aussi le pourquoi de cette réduction en 2 temps. Plus la réduction était importante, plus cela risquait de se produire.
Pour Ahn c’était une étape physique mais aussi un peu psychologique. Il fallait que son corps accepte de lâcher prise pour aller au-delà de cette étape. D’après elle, sa constitution physique et les sensations de Cathie, ce n’était pas encore sa limite. Ahn a longuement parlé seule à seule avec Cathie. Elle lui remonté le moral, donné du courage et Cathie a donc accepté de continuer malgré la difficulté.
Il lui a fallu un peu plus de 5 semaines cette fois ci pour s’adapter sans douleurs à ses 54 centimètres dans la journée avant de passer aux 54 de nuit. Puis un mois complet avant de passer aux 53 centimètres.
Chapitre 12 : Ma progression
Pendant cette période de réduction de Cathie, je poursuivais aussi de mon côté ma réduction. C’était à la fois moins compliqué physiquement car je n’étais pas dans les réductions extrêmes d’Ahn et de Cathie (il est plus facile de réduire quand on est vers 80 centimètres que vers 50 cm) et difficile car il fallait cacher dans la vie active, ce stress d’être découvert et jugé et quand même être diminué physiquement. Quelques douleurs aux cotes aussi lors des réductions, mais moins que mon épouse, un souffle plus court et l’adaptation à cette vie.
Pour une fête, Cathie m’a donné un paquet. J’ai ouvert le paquet et j’ai trouvé une paire de bottines, mais celles-ci très féminines et fétichistes. En cuir noir vernies, lacées sur le devant, et un talon fin de 12 centimètres. Cathie m’a dit qu’elle aimerait beaucoup que je continue de partager avec elle la passion des chaussures sexy. N’ayant qu’une paire à talons large de 10 centimètres à ma taille, elle m’avait donc commandé celles-ci. Je les ai passé immédiatement pour lui faire plaisir. La sensation était très différente des 10 centimètres. J’ai vraiment ressenti une forte cambrure, un nouvel équilibre à trouver. En plus la vision de pieds tout petit du fait de la hauteur. J’ai fait quelques pas, un peu maladroitement, aussitôt guidée par Cathie.
J’ai monté l’escalier pour aller me voir dans la grande glace de notre chambre. C’était un week-end, je portais mon jean étroitement ceinturé sur ma taille corsetée était à 78 cm (mesure sur le corset) et un t-shirt stretch. Du fait de leur hauteur on voyait plus les talons, mes pieds faisaient tout petits, très féminins et j’avais une posture plus cambrée. J’avoue honteusement que j’ai adoré voir ma forme de corps ainsi.
Cathie m’avait rejoint et m’a dit : « Ne penses-tu pas que tu es bien plus beau ainsi ? » Ensuite elle m’a longuement parlé. Elle m’a avoué qu’elle m’avait toujours trouvé très beau, car j’étais assez fin de visage, blond aux yeux bleus, petit. Elle a aussi rajouté que les hommes un peu ambigu l’avait toujours troublée et que me voir ainsi la comblait de bonheur. Le lendemain, après m’avoir lacé Cathie m’a dit : « on va mettre en valeur ces jolies bottines, laisse-toi faire »
Elle rajouté à mon corset des jarretelles, mis des bas opaques, un pull stretch et une jupe au-dessus du genou ceinturé à la taille. Pour les vêtements c’était facile, Cathie pu fouiller dans son ancienne garde-robe quand elle était ronde, et donc trouver quelque chose à ma taille. C’était aussi plus simple du fait de mon corsetage à 78 centimètres. Touche finale j’ai enfilé mes nouvelles bottines. L’image renvoyée dans la glace de mon corps était assez incroyable, très féminin. Mon visage masculin n’était pas trop dérangeant avec la finesse de mes traits, et l’ambiguïté de l’ensemble pouvait être sexy.
Cathie m’a longuement embrassé et m’a caressé tout le corps et plus particulièrement les jambes.
« Tu as de très jolies jambes chéri ! »
Quand je lui ai fait remarquer qu’elle avait oublié de me mettre un slip, elle m’a dit que sans c’était une expérience amusante à vivre.
J’ai donc passé la journée ainsi, sous le regard amoureux de mon épouse, guidé sur la façon de marcher, de s’assoir, de bouger, et d’être caressé sous ma jupe. Au moment de se mettre au lit, elle m’a simplement dit : « Là tu te rends compte ce que nous devons faire les femmes pour être sexy, et ce que j’ai fait pour te plaire. Un grand merci à toi, j’ai beaucoup aimé jouer à la poupée aujourd’hui ». Je lui ai avoué avoir pris aussi beaucoup de plaisir et elle m’a répondu :
« Prêt pour recommencer ? »
J’ai répondu : « Oui ». J’aimais tellement lui faire plaisir.
Donc certains week-ends, Cathie m’habillait en femme sexy : talons, bas, corset, taille lacée mise en valeur. Dans ces jeux, nous prenions beaucoup de plaisir. Presque immédiatement j’ai porté cela quand Ahn venait. Elle aimait aussi beaucoup mon look ainsi en disant : « Enfin un mec bien ! ». A ce moment-là, j’ignorai qu’Ahn aimait les femmes et non les hommes.
Chapitre 13 : jeux de couple fétichiste
A un moment j’ai eu l’opportunité de quitter mon emploi dans la banque où je commençais à m’ennuyer pour un travail dans le conseil aux entreprises. J’étais devenu indépendant, ce qui était bien agréable, avec un travail de préparation et d’études à la maison et de nombreux déplacements chez mes clients. Physiquement les 6 premiers mois ont été difficiles, je n’avais pas encore complètement compris comment mener une vie active avec un corset.
Progressivement j’ai ralenti mon rythme comme arrêter de courir pour prendre un train, choisir les escalators et non les escaliers, me lever plus tôt le matin à l’hôtel pour intégrer mon laçage à faire seul. Cathie a été inquiète au début que je ne triche avec mes corsets, il m’aurait été facile de les enlever pendant mes déplacements sur plusieurs jours sans qu’elle le sache, mais je voulais respecter mon engagement auprès d’elle et j’avoue aussi avoir pris goût à ma nouvelle forme de corps et à la restriction.
En effet, avec le temps mon corsetage m’avait rendu plus doux, plus attentif à Cathie. Le fait d’être restreint et physiquement diminué par le corset faisait que j’évitais les conflits, et c’était bien agréable.
Etant plus souvent parti de la maison, cela renforçait encore plus nos moments ensemble avec Cathie et intensifiait nos jeux. Même si cela lui prenait plus de temps et demandait plus de patience, elle continuait sa réduction. Elle voyait Ahn régulièrement. Soit elle venait chez nous pour le week-end, soit Cathie allait de temps en temps chez elle à Paris pour 2 jours de shopping entre filles.
N’étant pas très shopping, même si c’était très sexy d’accompagner 2 femmes étroitement lacées, en talons hauts avec des silhouettes de rêve, ça me permettait aussi de me reposer tranquillement à la maison. Dès que c’était possible, pas d’amis, de famille ou besoin de sortir, je passais les journées en vêtements de femme faisant le bonheur d’un fétichiste : taille lacée mise en valeur, bas, jupe, talons hauts pour le bonheur de Cathie. Nous faisions ensuite l’amour comme des fous.
Cathie sous la prise en main et les conseils d’Ahn s’était fixé un objectif de tour de taille réel de 50 centimètres, c’est-à-dire 52 centimètres mesuré sur le corset. Si effectivement elle était très restreinte physiquement, cela lui permettait de mener sa vie professionnelle. Le jour de son premier laçage à cette taille, Ahn était présente, et nous avons fêté cela. Il lui a fallu par la suite presque 3 mois pour ne plus ressentir de douleurs ou de gène, et que son corps l’accepte en 23/7. Elle était absolument superbe, je ne me lassais pas de caresser son corps, de prendre sa taille entre mes mains : elle m’avait fait un cadeau extraordinaire.
Pour ma part, avec cette nouvelle vie active, Cathie a été d’accord pour que je reste à mon laçage de 78 centimètres, soit 76 pour ma taille réelle à l’intérieur du corset. Un dimanche d’hiver où la nuit tombe de bonne heure, nous avions passé tranquillement la journée à la maison. En toute fin d’après-midi, Cathie m’a dit :
« Ce te dit d’aller te promener ? »
J’ai trouvé l’idée un peu bizarre de sa part, il faisait nuit et un peu froid.
« Si vraiment, ça te fait plaisir, pourquoi pas. Je vais me changer »
Il faut noter que j’avais passé la journée en tenue féminine fétichiste comme mon épouse le souhaitait de plus en plus lorsque nous étions tous les deux. Ce jour-là je portais un pull à col roulé très moulant, une jupe longue qui arrivait à mi mollet avec une large ceinture de cuir, corset avec jarretelles, bas et une paire de bottes à talons de 12 centimètres. En effet, Cathie complétait de temps en temps ma collection de chaussures à talons par de petits cadeaux.
« Non justement, comme cela. C’est ça que j’ai envie »
« Ma chérie, là c’est vraiment trop compliqué, imagine que l’on rencontre quelqu’un dehors, professionnellement ça peut me nuire d’être vu comme çà »
Nous habitons une petite ville où tout le monde se connait, et vous imaginez les conséquences ! En France, la plupart des gens n’ont pas forcément l’ouverture d’esprit et la tolérance nécessaire pour accepter un homme qui porte des talons sans en déduire tout un tas de perversions. Déjà que pour Cathie cela avait été un peu compliqué lorsqu’elle avait assumé son tour de taille corseté. Mais comme c’était la dame qui portait tout le temps des hauts talons, les gens avaient fini par y trouver une sorte de logique.
« Pas ici chéri, bien sûr, dans notre ville à côté. A cette heure, un dimanche, dans l’endroit du centre-ville où tous les commerces sont fermés, il n’y aura personne. Au pire si on croise quelqu’un, je vais te prêter un manteau avec une grande capuche, cela passera très bien. »
Nous habitons à 20 minutes environ d’une grande ville où effectivement le pourcentage de chance de croiser une connaissance est faible. J’ai ressenti alors un mélange de peur mais aussi de fierté d’oser le faire pour le plaisir de mon épouse, cette dernière étant la plus forte, j’ai accepté le challenge.
Cathie portait elle aussi un pull stretch mettant en valeur sa taille ultra fine, sa poitrine, une jupe courte et des bottes au-dessus du genou avec des talons très hauts de 14 centimètres. Elle a mis un manteau assez long, et m’a donné le manteau avec un grande capuche permettant si besoin de cacher mon visage.
C’était la première fois que je conduisais en talons hauts, sans trop de soucis grâce à notre boite automatique. Je devais simplement accentuer ma cambrure de pied. Nous nous sommes garés au centre-ville, proche des rues piétonnes effectivement vides à cette heure d’un dimanche soir d’hiver. La portière de la voiture fermée, nous avons commencé à marcher bras dessus bras dessous. Plus je m’éloignais de la voiture plus je ressentais une sensation de vulnérabilité. Que faire en cas de rencontre ? Impossible de courir avec les talons et le corset, dur de se défendre. J’en parlais à Cathie qui m’a dit :
« Tu vois ce que c’est chéri que d’être une femme quelquefois en portant tout ce que vous aimez »
Mais c’était aussi très excitant de vivre cette expérience. Avec cette peur assez oppressante, le corset et les efforts avec les talons hauts, j’ai eu du mal rapidement à retrouver mon souffle. Cathie m’a fait ralentir, souffler, donné des conseils pour gérer cette marche, je me suis détendu. A un moment nous avons vu un couple qui venait dans notre direction, ma peur est revenue. Cathie m’a fait mettre ma capuche pour cacher mon visage, et nous nous sommes mis de l’autre côté de la rue. Nous nous sommes croisés avec un grand « bonsoir » échangé entre eux et Cathie. Ils ont continué leur chemin, ouf !
Au bout d’une demi-heure mon épouse a mis fin à mon doux « supplice », nous avons rejoint la voiture sans soucis. Quel soulagement quand j’ai fermé ma portière de me sentir en sécurité, avec en plus un immense sentiment de fierté d’avoir osé le faire. Cathie m’a longuement embrassé, ça l’avait beaucoup amusé et excité.
Nous avons par la suite continué régulièrement ce jeu de promenades nocturnes dans des endroits calmes et surs, cela pimentait et entretenait notre vie érotique. Quand elle était là, Ahn se joignait à nous. C’était très amusant même si c’était à chaque fois très stressant pour moi.
Chapitre 14 : Assumer notre vie
Cathie avait bien intégré ses choix dans toutes les facettes de la vie courante : à la maison, au travail, en famille et avec les amis. Sa taille lacée était la plupart du temps mise en évidence, elle avait décidé de porter au minimum des talons de 12 centimètres. Bien entendu au travail ses tenues étaient assez sobres : jupes au genou, tailleur. Dans notre vie privée, c’était souvent beaucoup plus érotique. Par exemple des jupes mini, un peu de cuir ou de vinyle noir, des talons pouvant atteindre 16 centimètres, des cuissardes, pour le plus grand bonheur de son petit mari fétichiste. Même si elle avait dû modifier son rythme de vie, elle s’accommodait plutôt bien de ses corsets à 52 cm (50 cm pour sa taille à l’intérieur)
Pour ma part, il est effectivement compliqué, voire impossible, pour un homme d’exhiber le fait que l’on porte des corsets, et dans mon cas des corsets féminins. Je le cachais soigneusement, cela demandait beaucoup d’attention et d’ingéniosité. C’était même difficile physiquement les jours chauds d’été. Les seuls au courant étaient Ahn bien entendu, et un petit cercle d’amis très proches qui l’avaient bien accepté.
Pour la famille, la situation devenait difficile pour continuer de le cacher. Après avoir longuement échangé sur le sujet avec Cathie, elle a décidé dans un premier temps d’en parler avec la personne qui nous paraissait la plus ouverte pour le comprendre et l’accepter : sa maman. Elle l’a donc appelée. Quand elle a raccroché le téléphone, elle m’a dit que sa maman était à la fois très intéressée de voir cela mais aussi très admirative de son gendre. Elle avait même rajouté que d’essayer des talons serait très bien, Cathie lui a dit : c’est fait aussi. Elle se chargeait de l’expliquer à son mari. Le lendemain ma belle-mère a rappelé : mon beau père, même si lui ne le ferait pas, il était tout à fait ouvert à ce que son gendre porte des corsets, voire des talons, pour faire plaisir à sa fille. La prochaine fois que l’on se verrait, je ne serais pas obligé de cacher ma taille corsetée.
Pour la soeur de Cathie, cela s’est fait de façon un peu plus brutale.
Nous avions un week-end prolongé avec le vendredi où nous ne travaillions pas. La soeur de Cathie, Nathalie, devait nous rejoindre pour passer le samedi et le dimanche avec nous, son mari étant en déplacement professionnel. Cathie a donc décidé que nous pourrions « jouer » le vendredi, devant être discret avec Nathalie. Vous vous rappelez que si elle portait et adorait les talons, selon une coutume familiale transmise de mères en filles, elle avait été très réticente sur les corsets de Cathie, alors imaginez pour un homme ! Donc le vendredi matin Cathie avait soigneusement choisit ce qu’elle voulait que je porte et m’avait habillé : jupe courte noire, chemiser blanc, bas noirs, bottes genou avec talons de 12 centimètres.
Elle m’avait mis une large ceinture portée sur le chemisier pour bien souligner ma taille étranglée par le corset, et avait rajouté pour rire un petit cadenas qui bloquait la ceinture. Elle trouvait très érotique de voir ma taille cadenassée, et surtout de savoir que cela me donnait une pression psychologique supplémentaire. Comme je ne pouvais sortir ainsi, Cathie s’est chargée d’une course à faire dans l’après-midi. J’étais tranquillement sur l’ordinateur en attendant son retour, lorsque la porte s’est ouverte et j’ai entendu la voix de Nathalie :
« Coucou ! j’arrive juste, vous allez bien ! »
Nous avions totalement oublié qu’elle avait avancé sa venue.
Mon coeur s’est arrêté, j’ai du devenir tout rouge, et j’ai tout de suite vu qu’il m’était impossible de me cacher, Nathalie se trouvant dans l’entrée bloquait l’accès à notre chambre, aux toilettes ou la salle de bain qui auraient pu faire refuge en attendant le retour de Cathie. Il fallait donc assumer. J’ai pris mon courage à 2 mains : « Nathalie, ne bouge pas, avant que l’on se voie, j’ai quelque chose à t’expliquer » Et rapidement je lui ai avoué nos jeux érotiques avec le partage du corset, des talons, de tenues sexy ; que nous avions oublié qu’elle venait aujourd’hui et que donc elle arrivait en plein milieu de nos jeux. Je me suis alors levé et je suis allé l’accueillir. J’ai vu chez elle un profond étonnement, des yeux ronds, un silence. Elle m’a regardé de la tête aux pieds, et a dit : « Ah oui ! Quand même »
« On s’embrasse ? »
Nous nous sommes fait la bise, je l’ai invité à s’assoir, proposé un thé, Cathie est arrivée. Je l’ai vu rougir et vite se ressaisir et dire :
« On ne savait pas comment te le dire, le plus dur est fait, on peut en parler si tu veux » Et Cathie a commencé à lui raconter en détail notre histoire. Dans l’affolement je m’étais assis avec elles et une heure après, en me levant, j’ai entendu Cathie dire dans mon dos : « Tu avoueras que ça lui va bien »
Et Nathalie de répondre : « C’est vrai »
J’avais oublié d’aller me changer, je suis donc resté en tenue jusqu’au coucher. Nathalie m’ayant même félicité sur ma démarche en talons. Le reste du week-end j’ai repris une tenue « normale » mais avec mon corset. Nathalie se chargerait de l’expliquer à son mari, elle avait été rassurée que nous avions eu un accueil très favorable par ses parents.
Nos corsets étaient entrés dans la famille.
L’épisode avec Nathalie avait donné une idée à mon épouse. Ma belle-soeur est aussi une très jolie femme, et souvent pour rire depuis le début de notre relation elle me disait :
« Tu ne touches pas à ma soeur ! »
Pour ma fête, elle m’a donné un joli paquet. Dedans j’ai trouvé une cage de chasteté, le modèle d’une grande marque assez courant en plastique. Je n’en avais jamais vu, même si je savais que cela existait. Cathie m’a tout de suite rassuré qu’elle n’avait jamais douté de ma fidélité, que c’était juste pour pimenter nos jeux. Je l’ai rapidement essayée et curieusement trouvée assez confortable, c’était aussi assez troublant de se sentir à la merci de Cathie pour utiliser son propre sexe. Porté sous une jupe, cela rajoutait une petite excitation d’avoir son sexe enfermé, et Cathie rajoutait dans un grand éclat de rire :
« Une femme n’a pas d’érection »
La cage de chasteté est donc devenue un accessoire très érotique pour nous, permettant à Cathie de jouer avec ma frustration, mais aussi qui développait mon plaisir ensuite. Je la portais à la journée, lorsque nous avions nos jeux. Lorsque Ahn est venue la fois d’après, Cathie lui avait fait la confidence de son achat, elle a tenu à soulever ma jupe pour voir. Avec un grand sourire, elle m’a dit : « Tu es très bien ainsi, ça te fait un très joli sexe » J’avoue que sur le coup, cela m’a quelque peu interrogé, même si la situation était très érotique et j’ai oublié.
Chapitre 15 : L’aveu
Avec le port du corset en 23/7 depuis maintenant quelques années, les moments en talons hauts de plus en plus fréquents, et la cage de chasteté, je me rendais compte que je devenais à la fois plus attentif aux désirs de Cathie, plus obéissant. Au début je le prenais sous une forme de jeu érotique, « faire semblant », mais cela se gravait au fond de moi. Porter un corset au travail c’était aussi accepter sa restriction physique, et du coup j’étais moins combatif, agressif tout en sachant s’affirmer d’une autre manière. Cela s’est aussi développé quand Cathie m’a demandé de garder ma cage de chasteté quand mon travail exigeait des déplacements professionnels en dehors de la maison, non pas qu’elle doutait de ma fidélité, mais selon ses mots pour « penser plus à elle ». A cet effet, pour que cela soit plus discret, elle m’avait acheté le modèle « small » de cette marque. J’ai regardé avec curiosité au début mon sexe comprimé dans cette petite cage, un peu effrayé de devoir porter cela, mais curieusement c’était aussi beaucoup plus confortable. Dans nos jeux intimes, Cathie a commencé à introduire quelquefois un peu de bondage, et j’avoue avoir commencé à prendre du plaisir à cette soumission soft.
Ahn venait régulièrement pour des week-ends, nous passions des morceaux de vacances ensemble et Cathie allait la rejoindre à Paris pour du shopping entre filles.
Ce week-end-là, Cathie était partie le vendredi soir par le train pour voir Ahn, un samedi dans les magasins, soirée avec des amis et retour le dimanche. J’avais été invité, mais j’avais eu une semaine de travail en déplacement et je préférais me reposer tranquillement à la maison. Elle m’avait proposé de me libérer de ma cage de chasteté pour le week-end, mais par bravoure j’avais dit que je pourrais attendre son retour le dimanche. Elle a ri en disant « c’est toi qui l’as voulu, comme ça tu ne feras pas de bêtises ». J’avoue avoir trouvé le temps long et attendu avec impatience son retour.
Je l’ai donc retrouvée le dimanche en fin de matinée. Après le déjeuner, je l’ai vu un peu hésitante, mal à l’aise, et elle m’a dit : Assieds-toi, j’ai à te parler, ce n’est pas facile mais c’est important »
En voici le résumé :
L’arrivée du corset dans sa vie a été important en lui permettant de retrouver une silhouette sexy et donc de s’aimer à nouveau. Le plus a été de relancer notre couple sexuellement et de le consolider dans ce moment que l’on appelle « crise de milieu de vie ». Elle m’a parlé du trouble quand elle m’a vu en corset la première fois, et quand elle m’a fait partager en plus ce qui rend les femmes si sexy comme les talons ou autres choses.
Et puis l’aide d’Ahn qui l’a guidée pour sa réduction de taille, et un jour sa première expérience sexuelle avec elle. La révélation de son penchant beaucoup plus marqué sexuellement avec les femmes qui était enfoui au fond d’elle. Tout s’est alors éclairé pour elle, sa relation avec Ahn, son plaisir à me féminiser. Aujourd’hui Ahn était sa maitresse, avec une relation très érotique de domination soumission très fétichiste, je restais son mari adoré, elle m’aimait toujours profondément et c’était renforcé par mon acceptation de rentrer dans son jeu féminin.
Etrangement, je n’ai pas été en colère, peut-être une légère tristesse. J’ai ressenti Ahn non pas comme une ennemie qui me volait Cathie, mais une pièce nouvelle qui s’incérait dans notre vie. Était-ce par que c’était une femme, qu’elle contribuait énormément à mes fantasmes ? Il est sûr que je n’aurai pas vécu cela pareillement avec un autre homme. Cathie a été soulagée de ma réaction, elle avait peur de me blesser profondément. J’ai alors compris beaucoup de choses : les visites chez Ahn, son laçage plus étroit, la hauteur de ses talons plus important, et mon « éducation » féminine progressive.
Ensuite Cathie m’a dit ses souhaits pour l’avenir pour que nous puissions en discuter. Tout d’abord elle voulait que restions ensemble, nous nous aimons profondément, qu’Ahn puisse garder sa place dans notre vie. Puis elle m’a demandé si j’étais d’accord pour continuer, voire renforcer ma « féminisation » afin d’avoir avec elles (Ahn et Cathie) une vie plus lesbienne, l’objectif étant, si j’en étais d’accord, une vie en femme lorsque je serais à la retraite. Ceci étant impossible à ce jour avec mon travail. J’ai demandé plus de détails sur concrètement ce que cela impliquait. Et j’ai demandé un temps de réflexion.
Chapitre 16 : l’engagement
Cathie m’a laissé tranquillement le temps de réfléchir, notre vie de couple a donc continué comme avant : notre vie professionnelle, nos moments ensembles, nos jeux érotiques. Je savais qu’Ahn faisait partie de notre vie et ce qui se passait quand elles prenaient du temps ensemble, soit quand je partais en déplacement, soit quand Cathie allait faire du shopping à Paris. Quand Ahn venait en week-end chez nous, elle restait respectueuse de notre couple gardant une place d’amie.
Durant cette période, le principal changement a concerné Cathie. Comme sa position de soumise à Ahn était claire pour nous 3, elle avait relancé le « waist-training » de Cathie. Elle lui avait offert de nouveaux corsets, avec une coupe un peu plus arrondie au niveau de la cage thoracique (Cathie travaillant, avec une vie active, il ne fallait pas trop l’étouffer) mais avec un double baleinage et une taille plus étroite. L’objectif fixé par Ahn était de 50 centimètres, mesure sur le corset, soit 2 centimètres de moins que sa taille actuelle. Les corsets ont été fait à 49 centimètres fermés pour laisser une petite marge nécessaire, tous underbust.
Si effectivement Cathie a trouvé un peu plus de confort pour respirer, la pression sur sa taille et la rigidité de ses nouveaux corsets lui ont demandé beaucoup d’efforts et de courage. Il y a donc eu selon la méthode d’Ahn le laçage à 51 le jour puis retour à 52 la nuit, et le 51 51 quand son corps avait accepté ce centimètre de moins. Cela a pris les 2 mois prévus. Pour la première période de laçage à 50 centimètres, nous avions prévu 15 jours de vacances pour qu’elle puisse tranquillement s’habituer avant de reprendre sa vie active. Le samedi matin je l’ai donc lacée à 50 centimètres, lentement, guidée par elle fonction de ses sensations physiques. Elle m’a demandé au moins 3 fois : « Est ce que ça y est ? ». J’entendais à la fois sa volonté, mais aussi sa difficulté et son corps qui résistait. Pour un petit centimètre me direz-vous ? Tous les porteurs de corsets vous le diront, quand on est proche de ses limites, un centimètre c’est énorme. Les porteurs de talons hauts vont dirons la même chose, entre 12 et 13 centimètres de talons, c’est totalement différent.
Et j’ai fait le noeud, corset a 50 centimètres, mesure dessus. Cathie m’a demandé le mètre a ruban, a vérifié elle-même. Elle a eu un grand silence, m’a embrassé profondément, amoureusement, m’a demandé que je mette mains autour de sa taille et a pleuré longuement dans mes bras. Elle m’a rassuré ensuite. Oui bien sur elle avait mal aux cotes, mais c’était normal il fallait le temps de les cintrer un peu plus, oui elle se sentait très contrainte et diminuée, oui c’était dur à supporter, mais quelle fierté de l’avoir fait avant tout pour moi, mon fétichisme des corsets et pour sa maitresse qui serait fière d’elle. Nous avons pris une photo du mètre à ruban sur sa taille à 50 centimètres et envoyé à Ahn. La première journée a été très dure pour elle. Elle passait tout le temps ses mains sur sa taille d’une rigidité incroyable par le serrage et le double baleinage en alternant des moments allongée pour se détendre au maximum et ne pas lutter contre le corset. Elle a pris des anti-douleurs prescrits par sa Maitresse. Avant sa douche du soir et le retour à 51 centimètres pour la nuit, elle m’a dit :
« Fait l’amour à ta petite femme à taille de 50 centimètres s’il te plait »
Nous avons fait cela avec beaucoup de précaution, et du fait de notre excitation mutuelle, nous avons joui tous les 2 rapidement. Le re-laçage à 51 centimètres pour la nuit a été un soulagement.
Nous avons bien fait de prendre ces 15 jours consacrés à Cathie et son accoutumance aux 50 centimètres. Il a fallu cela pour que les douleurs s’apaisent, que ce corps trouve sa place et qu’elle adapte ses gestes dans la vie courante. Au bout de cette période elle avait cessé de lutter contre son corset. Elle s’est aperçue que conduire devenait très compliqué pour elle et pu trouver une collègue pour faire du covoiturage.
Sa confession de l’avoir fait en priorité pour moi, pour notre couple m’a bouleversé, comment refuser ce qu’elle me demandait de son côté. Le jour de son anniversaire, soit 6 mois après sa confession et sa demande pour la suite de notre vie, je lui ai dit « oui »
Chapitre 17 : ma nouvelle vie
Je m’engageais donc sous sa conduite et celle d’Ahn de découvrir et m’adapter à un monde féminin avec pour objectif final une vie en femme soumise dans un trio lesbien avec Ahn et Cathie. Bien entendu, même si c’était très sérieux, cela devait rester un jeu où toute le monde devait y trouver du plaisir, de l’amusement ; et non une contrainte triste, de souffrance, sans respect. Chacun pouvait dire « stop » à tout moment. Il était donc tout de suite hors de question d’engager des modifications irréversibles sur nos corps ou notre style de vie. Quel était donc mon engagement ?
Mon apparence strictement masculine était réservée aux moments nécessaires pour préserver mon activité professionnelle, c’est-à-dire dans notre ville où j’étais connu en tant que consultant et bien sûr au travail. Bien entendu, je serais corseté en dessous, mais je le pratiquais déjà depuis des années sans trop de soucis.
Dans les endroits publics, où il n’y a pas de chance de croiser des connaissances professionnelles avec un certain anonymat et en toute sécurité, pouvoir montrer sa taille corsetée et porter des talons hauts : une sorte d’homme un peu ambiguë avec une taille fine et de hauts talons larges sous un jean, un homme qui assume sa part de féminité. Ce serait aussi le cas pour la famille.
En privé, et quelques sorties discrètes, en femme sexy et soumise. Je devrais porter en toutes circonstances un corset (ma réduction de taille devant reprendre) des sous-vêtements féminins et une cage de chasteté. Rappelez-vous au début la remarque de Cathie : « une femme n’a pas d’érection ». Pour la chasteté, c’est quelque chose qui m’avait fait longuement hésiter. Au moment de mon engagement, je serais donc enfermé en permanence dans une cage de chasteté, libéré seulement pour les grandes toilettes. C’était une idée d’Ahn pour m’aider à aller dans une relation lesbienne. J’apprendrais à faire l’amour et à avoir du plaisir comme une femme, mon sexe encagé devenant une sorte de clitoris. Ahn m’avait assuré que je pourrai avoir de profonds orgasmes ainsi après une période d’apprentissage. Comme dans l’engagement il était possible de dire stop, pourquoi ne pas essayer ? Tout ceci devant m’amener tranquillement pendant les quelques années de travail à intégrer ma féminité à 100 %.
Et donc en ce jour d’anniversaire de Cathie au printemps j’ai dit « oui ».
Cela l’a remplie d’une joie immense, elle m’a dit qu’elle m’aimait profondément. Inutile de vous dire que pour cette journée je m’étais habillé sexy : corset et bas noirs, jupe cuir noir assez courte, chemisier blanc avec large ceinture mon marquer ma taille, bottes talons de 12 centimètres et ma courte cage de chasteté plastique habituelle sous ma jupe, sans slip. Comme dit Cathie « cela permet de sentir offerte et vulnérable ».
Dans l’après-midi, Cathie m’a emmené dans la chambre, a retiré ma jupe, mon chemiser et ma cage de chasteté. Nous avons fait longuement l’amour « normalement », je sentais au fond de moi que c’était peut-être la dernière fois de cette façon avec un peu d’appréhension. Juste après elle a pris dans son tiroir à bijoux une petite boite et sorti une nouvelle cage de chasteté. Elle était encore un peu plus petite mais surtout en acier. Vu l’étroitesse mon sexe a eu du mal a entrer dedans, le clic du cadenas m’a donné à la fois un grand froid intérieur mais aussi une certaine excitation tout de suite réprimée par la cage. Cathie m’a longuement embrassé, passé ses mains sur ma taille lacée, sur mes jambes gainées de bas, mon sexe encagé. Elle s’est reculée, m’a regardé de la tête aux pieds et m’a dit : Que tu es belle, qu’est-ce que je t’aime ! »
Le lendemain matin, j’ai été lacé 1 centimètre plus étroitement à 77 cm (75 à l’intérieur du corset)
Ma nouvelle vie venait de commencer.
Chapitre 18 : Au quotidien, mes progrès.
Rapidement Cathie a fait du tri dans mes vêtements. D’exclusivement masculin, elle n’a gardé que ce qui était utilisé pour mon travail, mes sous-vêtements d’homme ont disparu. En ouvrant mes tiroirs je découvrais mes corsets soigneusement rangés, mes liners portés sous le corset, des bas et de la lingerie. Pour le reste c’était soit des vêtements mixtes, comme des jeans unisexes, ou des vêtements purement féminins : robes, jupes, etc. De même pour les chaussures, je n’avais plus que 2 paires d’homme, toutes les autres étaient avec des talons. Les plus faciles à porter en « homme » étaient des bottines noires ou marron, à talons larges de 10 centimètres qui étaient relativement discrètes sous un jean un peu long et attiraient peu l’attention. Pour nos jeux, Cathie avait progressivement complété ma collection de chaussures féminines, et avec ses conseils et de l’entraînement je marchais correctement, même si cela me demandait beaucoup d’attention, avec des 14 centimètres.
Au travail je continuais d’avoir une attention soutenue pour cacher ce que je portais sous mes costumes : corset, sous-vêtements, l’hiver des bas, et ma cage de chasteté. Le fait qu’Ahn et Cathie m’avaient imposé une cage extrêmement petite, elle avait l’avantage d’être discrète sous mes pantalons. J’éprouvais au quotidien cette peur d’être découvert sur ce que je portais, mais aussi cette pointe de fierté d’oser le faire pour le bonheur de Cathie et de sa maîtresse et de braver des interdits sociaux.
Dès que je quittais ma vie professionnelle, je devais me changer, soit en femme sexy, fétichiste et désirable dans notre vie privée, soit en homme affirmant sa différence et sa part de féminité assumée en portant discrètement des talons, montrant une taille étroite avec une silhouette et des courbes quelques peu féminines. En quelques mois j’avais atteint ce que souhaitait Ahn : une taille lacée de 75 centimètres mesuré sur le corset. J’avais réduit ma taille de 15 centimètres par rapport à mon tour de taille naturel. J’avais eu moins de mal que la dernière réduction de Cathie, mais j’ai dû adapter encore plus ma vie active : ralentir, définitivement abandonner un petit sprint pour prendre un train, éviter les escaliers et préférer les bagages à roulettes. Le moindre oubli, une posture incorrecte et mon corset me rappelait à l’ordre. Les longs trajets en voiture devaient être coupés de pauses pour détendre ma taille. Je comprenais de plus en plus ce que les femmes devaient endurer pour satisfaire les hommes fétichistes dont je faisais partie.
Cathie était heureuse, amoureuse et fière de son petit mari. Et sexuellement me direz-vous ? Etant porteur de ma cage de chasteté en permanence, Cathie m’a éduqué à lui donner du plaisir comme le ferait une femme. En plus des caresses que je pouvais faire, j’ai découvert les nombreux sex-toys qu’elle s’était procuré depuis sa relation avec Ahn et appris leur utilisation. Elle prenait encore plus de plaisir à ma grande satisfaction. En revanche, pour moi c’était très dur. Si j’avais du plaisir, une certaine excitation, l’impossibilité d’utiliser mon sexe, de le caresser m’empêchait d’avoir un orgasme, une frustration énorme. Nombre de fois j’ai supplié Cathie d’avoir une « récréation » le temps de m’habituer. Avec beaucoup de gentillesse, de pédagogie, aidée par Ahn aussi, elle m’expliquait que c’était important de continuer pour ressentir les choses non plus comme un homme mais d’une façon plus douce, plus féminine, et que la sexualité en était une part très importante. Je restais donc soigneusement bouclé dans ma petite cage en acier.
En revanche, petit à petit, grâce à toute cette éducation, à la fois la rigueur et l’amour de mes 2 maîtresses, j’appréciais de plus en plus le plaisir d’être lacé étroitement, de porter des talons très hauts de me sentir restreint et vulnérable. Chaque fois que je regardais mon nouveau corps sculpté par ces vêtements fétichistes, je le trouvais terriblement sexy. Je trouvais même que mon sexe étroitement corseté et réduit dans sa cage d’acier était beaucoup plus esthétique, Ahn et Cathie l’adorait ainsi. Je me surprenais à feuilleter les magazines de mode, les sites internet de chaussures ou autres, à choisir mes tenues pour être plus sexy, plus désirable.
Autre nouveauté terriblement excitante, grâce aussi à ma cage de chasteté, Cathie m’avait autorisé de donner du plaisir à Ahn, il n’y avait aucun risque, rire ! Je pouvais donc enfin caresser intimement ce corps exceptionnel pour un fétichiste des corsets. A cette époque Ahn venait de fêter ses 35 ans de corsetage en 23/7. Pour cet évènement Ahn avait pris des congés et donc réduire un peu plus sa taille. Il lui était alors possible d’être plus contrainte n’ayant pas à assurer les efforts physiques de sa vie professionnelle. Au bout de 2 semaines elle avait gagné ses 5 centimètres pour fermer ses corsets à 40 centimètres. Quelle sensation extraordinaire de regarder, toucher, mettre ses mains autour de cette taille et de faire jouir Ahn. Mon plaisir restait très cérébral, ma cage contrôlant sévèrement mon plaisir physique masculin.
Et puis, un peu plus d’un an après les débuts de cette nouvelle vie, nous faisions l’amour Cathie et moi avec nos caresses et l’utilisation réciproque de sex-toys, j’ai ressenti une onde de plaisir monter en moi, profonde, puissante et longue. J’ai dû crier, et j’ai eu beaucoup de mal à retrouver mon souffle, corset oblige, je venais d’avoir mon premier orgasme « féminin » en bas, corset, talons et cage de chasteté.
Chapitre 19 : Du changement pour Cathie
Après cette première année difficile et frustrante le temps de m’adapter à cette nouvelle vie, cela s’est détendu avec ma possibilité d’avoir à nouveau des orgasmes, bien qu’ils soient d’un autre genre. Je ressentais aussi l’importance du port de cette cage de chasteté permanente pour m’empêcher d’avoir une sexualité masculine, ne serait-ce qu’un instant, dans mes ressentis j’allais au-delà d’un homme qui portait des tenues féminines fétichistes. Mais régulièrement j’avais ma frustration qui remontait et une énorme envie d’une sexualité « normale » masculine surtout au contact des corps superbes corsetés de mon épouse et d’Ahn. Mes demandes étaient rejetées par mes 2 maitresses avec une rigueur teintée d’amour.
Il y a 3 ans, Cathie a vu son travail évoluer. Suite à une promotion, son travail a été moins opérationnel sur le terrain et plus organisation et stratégie. Elle avait donc beaucoup moins de déplacements et la nécessité de bouger. Sa maîtresse Ahn lui a demandé si elle était d’accord pour une nouvelle étape dans sa formation de taille, elle la voulait encore plus soumise par ses corsets. Après en avoir parlé avec moi, car cela nécessiterait de ma part plus de choses à faire dans la maison si elle était très réduite physiquement, au moins le temps de son adaptation, et vérifié auprès de son entreprise que c’était jouable, Cathie a donné son accord à Ahn pour tenter l’expérience. Cathie avait aussi l’accord d’Ahn de revenir à ses corsets actuels si s’était trop dur.
Ahn a donc commandé des corsets, nous ne savions pas lesquels.
Deux mois plus tard, nous a dit qu’elle les avait reçus, elle est donc venue le week-end suivant chez nous. Arrivée le vendredi soir, au moment de l’apéritif elle a déballé les fameux corsets et expliqué ce qu’elle souhaitait. A première vue il n’y avait pas de grands changements, toujours des corsets underbust avec la rigidité du double baleinage et le même tour de taille de 50 centimètres. Et en détaillant Ahn a montré le stem au niveau de la taille ainsi qu’un busc plus large et légèrement courbe. Vu le corps de Cathie, et Ahn étant médecin, elle pensait qu’elle pourrait porter des corsets stem.
Ahn adorait cette forme, moi aussi. Nous avions longuement échangé tous les 2 là-dessus en regardant les photos de « Spook » et de Sabine sur le site Staylace. Le busk courbe était pour forcer Cathie a un peu plus de cambrure, elle qui ne l’était pas naturellement, le corset de nuit ayant par contre un busk droit pour dormir plus confortablement. Ce stem faisait 2,5 centimètres (1 pouce) comme première étape. Si tout se passait bien Ahn envisageait ensuite les corsets définitifs avec un stem de 5 centimètres (2 pouces).
Nous avons vu Cathie pâlir un peu. Je savais qu’elle n’était pas adepte des stems, je l’avais poussée un peu à l’époque, mais elle avait refusé. Elle nous demandé si nous l’aimerions encore si elle n’y arrivait pas et revenait au hourglass, nous l’avons bien sûr rassurée. Le samedi matin Cathie a donc été lacée dans ce nouveau corset avec le busk courbe de jour. Ahn s’en est chargée en disant :
« Chérie, là c’est toi qui décides fonction des messages de ton corps. Je vais serrer, dis-moi stop quand tu sens que c’est le maxi »
Lentement, Ahn a serré le corset, en ajustant régulièrement pour que les bords soient bien parallèles. A un moment Cathie a dit « Stop » avec une petite grimace. Le laçage était à 55 centimètres (mesuré sur le corset). Ahn a fait le noeud. Elles ont ensuite longuement discuté de façon anatomique sur la pression différente de ce type de corset, l’action sur les côtes, les organes internes. Puis elles ont vérifié que le corset avait la bonne coupe. J’ai pu enfin toucher sa taille et mettre mes mains sur ce qui me faisait fantasmer depuis avoir vu « Spook » : un stem waist. Nous nous sommes embrassés longuement. Cathie a fait remarquer à Ahn que le busk descendait très bas sur son pubis, elle a répondu que c’était voulu pour rappel à l’ordre immédiat en cas de mauvaise posture. J’ai fini d’aider Cathie à s’habiller, et effectivement en s’asseyant pour le petit déjeuner Cathie a grimacé et changé de posture en disant : « C’est terrible ». Nous avons vu peu de temps après que Cathie ne pouvait plus conduire dans ce corset.
La journée a été une journée d’apprentissage, en particulier sur la posture, le souffle, et Cathie a modifié aussi ses repas avec la sensation d’avoir un estomac plus petit. Le laçage du soir a été fait dans un corset a busk droit. Elle a relativement bien dormi.
Centimètre par centimètre, avec la méthode d’Ahn, Cathie a resserré son corset stem. Cela a pris plus de temps que la réduction en hourglass, le temps de courber ses cotes, que ses organes internes trouvent une nouvelle place. Elle a dû aussi faire des poses ayant eu quelques soucis de peau (malgré toute l’attention apportée) aux endroits ou le stem s’incurvait et pressait sur une cote. A tour de rôle, pour ne pas cesser l’entraînement, les corsets ont été renvoyés pour des petits ajustements à ces endroits sensibles.
Les 50 centimètres à nouveau atteint, avec le stem de 2,5 centimètres et le busk courbe, Ahn a laissée Cathie 6 mois ainsi pour favoriser son adaptation, et les nouveaux corsets avec un stem de 5 centimètres (2 pouces) sont arrivés. Même si c’était dur pour elle, que sa vie était plus réduite, Cathie avait accepté l’étape suivante voulue par sa maîtresse. Le premier laçage a pu être fait à 54 centimètres, son corps avait accepté la forme stem. Toutefois il a fallu à mon épouse la même patience, accepter des douleurs, apprendre à bouger différemment ; et de ma part la soutenir, l’encourager dans des périodes difficiles où lui venait l’envie de revenir aux hourglass.
Cathie était à 51 centimètres jour et nuit, et Ahn a tenu à être présente pour le laçage final. Ce matin-là, après sa douche, j’ai donc passé le corset de jour de Cathie et commencé son serrage. Avec ce type de corset, nous prenions plus de temps, à la fois pour laisser à son corps le temps de se réadapter après une demi-heure de liberté, et pour ajuster parfaitement la position du corset. Arrivé à 51 centimètres, j’ai donc continué le serrage sous l’oeil expert d’Ahn, mon épouse me confirmant que ça allait, que je pouvais continuer. A 50 centimètres, Ahn a vérifié avec un mètre ruban si effectivement l’objectif était atteint. Puis elle a dit :
« Ma chérie, François va te lacer un petit peu plus, je te veux sous les 50 centimètres, tu auras franchi cet objectif extraordinaire, et on s’arrêtera là pour l’avenir »
Cathie n’a rien dit, juste peut être une petite larme écrasée par un rapide mouvement sur son visage, et j’ai serré un peu plus. Ahn a dit stop, elle a mesuré, 49,5 centimètres et a dit :
« C’est parfait »
Cathie est allée s’allonger pour ne pas lutter contre son corset, 2 heures après Ahn l’a aidée à finir de s’habiller et j’ai pu enfin l’embrasser, toucher cette taille qui me faisait tellement rêver avec en plus l’aspect psychologique de savoir que c’était moins de 50 centimètres au-dessus du corset.
Sous les ordres d’Ahn, Cathie n’a été délacée que d’1 centimètre, soit 50,5 alors qu’elle attendait le retour à 51. Il a fallu 6 semaines pour le laçage définitif à 49,5 jour et nuit avec 5 centimètres de stem, une vingtaine de mois en tout pour passer au stem. Cathie avait réussi.
Bien entendu avec un tel corset, sa vie était profondément changée car diminuée physiquement. Elle ne pouvait plus conduire, les trajets en voiture déjà difficiles pour les porteurs de corset étaient durs pour elle. Nous avons adapté notre mobilier avec des chaises et fauteuils adéquats, et à son travail son PDG lui a aussi offert un fauteuil adapté. Elle aussi modifié son nombre de repas.
Bien entendu Cathie était toujours en talons, la majeure partie du temps à 14 centimètres à la demande d’Ahn, les 12 centimètres minimum devant rester exceptionnels en cas de déplacements professionnels.
Sa silhouette était tout simplement exceptionnelle, Cathie est une femme merveilleuse
Chapitre 20 : Mes 5 dernières années
Pendant cette période mon entraînement continuait. Après la première année difficile pour m’adapter à mon « nouveau » sexe en chasteté, une taille plus étroite, j’avais pris le rythme de n’être en apparence masculine qu’une douzaine de jours par mois. En effet mon métier a une bonne part de travail à la maison pour préparer, faire des comptes rendus, du suivi ; et les déplacements chez les clients ne représentent que 2 à 3 jours par semaine. Pour les journées professionnelles à la maison, Cathie était attentive à ce que je sois en femme sexy et soumise, avec comme tous les jours mon corset et ma chasteté, mais avec jupe portée sans slip en dessous, bas, taille ceinturée bien exhibée, talons très hauts. Quelquefois elle rajoutait des entraves pour limiter ma longueur de pas et me faire sentir plus soumise. Si Cathie était soumise à Ahn, très clairement elle s’était positionnée comme ma Maitresse.
Tout se faisait avec beaucoup d’amour, de tendresse, pris très souvent sous forme de jeux, même si quelque fois c’était dur et difficile à assumer physiquement et psychologiquement, comme par exemple les premières fois où elle m’a pénétré avec un godemiché ceinture en relevant ma jupe sur la table en rentrant du travail, comme je l’avais fait quelquefois auparavant croyant cela très érotique. Ahn me prenait en main aussi quand elle était là.
Il y a eu aussi ces 15 jours de vacances dans une grande maison louée, avec jardin et piscine, tous les 3, Cathie, Ahn et moi. J’avais voyagé en vêtements « mixtes » en homme avec une taille fine assumée par un jean bien ceinturé et des talons larges de 10 centimètres partiellement masqués par le jean. Dès l’arrivée, ces vêtements ont été mis sous clef, et j’ai passé les 15 jours en tenue de femme fétichiste comme Ahn et Cathie : corset, bas, jupes courtes ou entravées, talons aiguilles jamais moins de 12 centimètres, et en plus pour moi ma chasteté. 3 femmes amantes en vacances.
La journée je restais sagement à la maison, les sorties en tenue, je n’avais que cela, sortant le soir discrètement, pour jouer la sécurité, afin de m’entraîner aux talons très hauts pendant de longues marches et de ressentir la vulnérabilité des femmes dans ces tenues certes érotiques mais entravantes. Sexuellement nous avions des rapports lesbiens. Cela m’a donné une idée précise de la vie que souhaitaient Ahn et Cathie pour moi au moment de ma retraite, n’ayant plus la nécessité d’apparaitre en homme pour préserver mon travail.
Je progressais dans ma découverte de la féminité et de son apprentissage, de notre passion des corsets et des talons, du fétichisme, et je commençais à y trouver un grand plaisir. Ahn et Cathie étaient très contentes de cela. Tout cela faisait partie maintenant de notre vie courante.
Comme vous le savez, Cathie avait accepté une forme de corset très contraignante à la demande d’Ahn. Elle trouvait que pour ma part j’avais un régime de corset un peu trop facile par rapport à elle, et que ce n’était pas équitable. Bien entendu, lors de nos discussions, elle admettait qu’avec mon travail et ses nombreux déplacements, que j’avais à faire plus de choses dans la vie courante pour compenser sa diminution physique avec ses stems et ses talons plus hauts, et donc je ne pouvais pas être trop contraint par le corset au quotidien.
Au cours de surfs sur internet sur le thème du corset, elle a découvert une jeune femme, « gourou » du corset et véritable encyclopédie sur ce sujet. Elle venait de créer une nouvelle forme de corset pour des femmes ayant des mesures équilibrées entre leur cage thoracique et leurs hanches, ce qui était mon cas. Cathie a échangé avec elle. Elle lui a confirmé qu’effectivement cette forme de corset était plus androgyne, donc pouvait plus facilement s’adapter à une morphologie masculine, mais attention à des porteurs confirmés car la réduction de taille était de 20 centimètres, avec un baleinage assez rigide. En revanche le corset avait une coupe un peu plus arrondie en haut de la cage thoracique (comme les anciens corsets de Cathie avant son stem) facilitant la respiration. Cathie en a commandé un pour voir, et même s’il n’irait pas, il pourrait servir de modèle pour mon fabriquant de corsets actuel.
J’ai donc reçu pour ma fête en cadeau ce corset, de couleur noir, en coton épais, très baleiné. Au laçage du matin, je me suis senti tout de suite bien dedans, comme s’il avait été fait sur mesure. Underbust, remontant assez haut dans le dos, Cathie me l’a lacé à mes 75 centimètres quotidiens désormais, soit 15 centimètres de moins que ma taille naturelle.
J’ai très vite ressenti effectivement un grand confort sur le haut du corset avec la découpe arrondie, mais une morsure plus grande au niveau de ma taille. Effet, même si ce n’était pas un stem, ce corset tout en rondeur présentait comme un petit stem avec une bande de tissu rigide à l’intérieur enserrant la taille. La journée s’est bien passée, et Cathie aimait bien cette forme que le corset me donnait. La nuit je retournais à mes corsets actuels. Le lendemain mon épouse m’a relacé dans le nouveau corset, mais j’ai ressenti que c’était différent de la veille, plus contraignant. Je l’ai fait remarquer à Cathie qui m’a répondu :
« Normal ! tu es lacé à 74 centimètres, on essaie pour voir comment tu peux le supporter »
La difficulté a été d’accepter et de gérer cet étranglement à la taille, la sensation d’être coupé en 2 parties, en revanche je n’avais pas de difficulté avec le souffle ni de douleurs aux cotes. Cathie devant s’absenter cette journée-là, pour être sûr que je ne tricherais pas, elle m’a mis une ceinture avec un petit cadenas. Le soir tout s’est relativement bien passé, ma taille s’étant détendue pour accepter ce centimètre de moins.
La semaine qui s’annonçait comportait un long déplacement professionnel de 3 jours, j’ai été d’accord pour tester ce corset lacé à 74 centimètres (avec retour à 75 pour la nuit dans mes anciens corsets)
Le week-end suivant nous avons parlé de ce test, et j’ai donné mon accord pour reprendre ma réduction de taille dans ce type de corsets. Nous en avons commandé 3 autres pour assurer la rotation jour nuit et le port en 23/7. 6 mois après mon corset était lacé à mon objectif de 70 centimètres, quelques semaines après j’étais à 70 jour et nuit.
J’avais réduit ma taille d’un peu plus de 20 centimètres, ce qui me donnait des mensurations de 93 – 70 – 92. J’adorais cette forme de corps tout en courbe, en rondeur, avec une taille très marquée et comme un petit stem. C’était très bien fait, un peu comme Cathie avec son stem, pour porter une large ceinture au-dessus des vêtements et souligner cette taille étranglée. Lors de mes sorties en public, en dehors du travail, en tenue androgyne avec ma taille marquée par la ceinture de mon jean, j’avais beaucoup plus de regards. Il faut dire aussi que mes maitresses avaient rehaussé mes talons, je n’avais plus le droit de porter moins de 12 centimètres. J’étais bien sûr plus diminué physiquement, avec le souffle plus court mais assez confortable pour mener ma vie active. Je gardais cette sensation d’être coupé en deux, avec une plus grande rigidité du buste. D’ailleurs dans le cadre professionnel j’avais un peu plus de remarque sur ma mobilité, je devais rougir à chaque fois, en me rattrapant sur « des problèmes de dos ». Cathie et Ahn adoraient aussi
La période du covid avec les confinements à la maison a permis d’intensifier ma pratique sous la vigilance de Cathie par des talons permanents et plus hauts, le corset bien entendu, l’apprentissage de gérer des jupes courtes avec des bas tenus par des jarretelles, des entraves quelquefois. Ma cage de chasteté a été réduite à nouveau pour obtenir ce que Cathie appelle « un mignon clitoris en inox ». Malheureusement nous voyons moins Ahn, mais ce n’est que ponctuel.
Chapitre 21 : Et aujourd’hui dans ce début d’année ?
Voilà déjà un peu plus de 20 ans que le corset est entré dans notre vie avec cette journée d’anciens d’université où Cathie a porté son premier corset, il a changé beaucoup de choses, mais il a aussi relancé et consolidé notre couple. Cathie gère au quotidien la contrainte de ses corsets et de ses talons, elle n’envisage pas de progresser, ressentant que c’est son maximum pour son laçage en accord avec Ahn. Pour moi, voilà presque 6 ans que je suis entrainé à cette vie en corsets et talons de femme quelque peu soumise voulant faire plaisir à son conjoint fétichiste.
Il y a peu, j’ai reçu un document m’informant que je pouvais prendre ma retraite par anticipation au printemps de cette année moyennant une réduction de pension, ou continuer progressivement jusqu’à l’âge légal.
Poussé par Cathie et par curiosité j’ai demandé un décompte, pour moi il était très clair que j’avais encore 3 années professionnelles. A la réception je me suis aperçu que financièrement c’était tout à fait possible de partir dès cette année. Cela m’a fait un grand choc. Mon engagement vis-à-vis de Cathie pour cet entraînement visant à une vie complète en femme soumise au moment de la retraite se matérialisait. Tant que c’était un entrainement, avec un côté assez ludique malgré sa dureté, l’objectif restait une hypothèse. Là c’était autre chose.
J’ai eu une longue discussion avec Cathie sur comment elle voyait la chose. N’ayant plus à protéger une apparence masculine pour la vie professionnelle, ma vie serait donc totalement féminine et donc de m’assumer en femme dans la vie courante. Avec la finesse naturelle de mes traits, un peu d’esthétique ferait le reste. Il n’est pas question de modifications irréversibles sur mon corps ou d’hormones pour se garder toujours la possibilité de stopper si plus personne n’y prend du plaisir. Cela doit rester un jeu. Plus de vêtements masculins à la maison, de chaussures plates. Cathie pense me commander de nouveaux corsets, sur-mesure, en s’inspirant de la coupe de mes corsets actuels pour continuer ma réduction de taille.
Avec Ahn, elle pense que je peux gagner encore 5 ou 6 centimètres pour un tour de taille, mesure sur le corset, de 64 ou 65 centimètres, ma vie de retraité me permettant de m’adapter à la contrainte physique. Mes talons seraient au minimum de 12 centimètres avec un objectif de 14 la plupart du temps, c’est ce que porte Cathie au quotidien. Pour le reste la vie de femme au foyer, tenir la maison, s’occuper de sa petite femme qui travaille et, bien entendu, continuer nos jeux fétichistes. Je pourrai être prêté à Ahn.
Si, dans la vie privée, grâce à mon entrainement j’arrive à assumer ceci avec même un certain plaisir et une fierté de le faire, dans la vie publique j’ai encore un peu peur du regard et du jugement des autres. Cathie m’a proposé d’assouplir la chose en gardant des sorties « androgyne » apparence masculine avec taille fine et talons si cela pouvait m’aider. Et donc, après longue réflexion, à ce jour, pour mieux m’y préparer, préparer aussi mon entourage, j’ai donc décidé en accord avec Cathie et Ahn de prolonger mon travail encore cette année, pour probablement basculer dans ma nouvelle vie l’année prochaine.
La rédaction de cette histoire a été pour moi un élément important pour poser les choses, prendre le recul nécessaire et faire aujourd’hui le choix le meilleur possible.
Super histoire, j'adorerai vivre le même type de relations, porter un corset, et des tallons comme ma femme | |
Je trouve cette relations extrêmement intéressantes sur le fait que la femme et l'homme fasse la même choses chacun a leurs niveau | |
L'on rentre littéralement dans l'histoire de cet homme, de sa femme. Il y a le doyci du dètail pour raconter une longue période de progression fétichiste. Une sincère avant de réaliser, pour leur plaisirs respectifs. | |
Il y a par contre une conception naïve de la "sexualité masculine". Une vision très européenne de la chose. | |
Une très belle histoire d'amour, de solidarité et de soumission. | |
Merci pour ce récit |
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